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Brochel Michu
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"Malgré les interdits imposés par la morale de l'époque, Julien et Louise se sont aimés librement. Leur liaison n'a pas échappé aux inquisiteurs secrets et sournois qui ont écrit sur la maison de Louise : Putain de la ville. Des années plus tard, à des moments différents, cette même insulte a été adressée à leur fille Julie, de la part d'un amoureux dépité, à leur petite-fille Louison, de la part d'un prétendant éconduit. Ce n'est pas une malédiction, les imbéciles, les jaloux, les méchants frappent quand ils peuvent. De cette famille presque ordinaire, nous suivons Louison qui a vécu un très grand malheur ; Guillaume qui s'est expatrié après un amour malheureux ; Julienne, très introvertie, transformée par la présence de Fernand dans sa vie. Les sujets sont graves, mais les amis de la famille, Aimé et Clovis, apportent des éclats d'humour dans ces chroniques. Ce sont des histoires de la vie, qui font pleurer ou sourire.
Ces chroniques se lisent comme un roman : le roman de la famille Trinquant."
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L'auteur a voulu ce roman policier avec des hommes et des femmes au plus près de la vraie vie. Il n'a rien à envier aux James Bond avec effets spéciaux et femmes blondes dans des voitures de sport. Les femmes y sont brunes et belles aussi.
Martial Coprin est un jeune lieutenant de police. Il n'appartient pas à ces grands services spécialisés que sont la Criminelle, les Stupéfiants, les Moeurs. Il a tous ces cas de mauvaises actions à traiter dans son commissariat et d'autres encore. C'est un policier généraliste, intelligent, modeste, opiniâtre, sans complexes, naïf aussi à ses débuts.
Il a travaillé le mieux possible, obtenu des résultats, sans reconnaissance de la part de ses supérieurs. Ils ont toujours quelque chose à lui reprocher. Martial n'entre pas dans le moule. Au cours d'une intervention, il a été blessé sérieusement, s'est remis de sa blessure physique. Prétextant la dangerosité de son métier, sa compagne l'a quitté. Il peine à se remettre de sa blessure morale et sa hiérarchie ne l'aide pas à guérir. -
Les Chroniques du bocage forment une entité, comme un arbre. Le tronc en est le bocage, avec des branches et brindilles, dont certaines se sont développées plus que d'autres. Les pousses de cette ramée, le livre 4, sont vigoureuses, irrévérencieuses, pleines de vie. Comme dans la vraie, les bons individus ne sont pas sans défauts et les mauvais ont quelques particules de qualités. C'est un vrai roman sous forme de nouvelles, avec des personnages qui animent une association insolite, inattendue, présentée d'utilité publique par l'auteur. Cette histoire est surtout une farce, comique et dramatique (un peu). Les acteurs principaux qui donnent vie à cette fable sont nés dans les livres précédents. Avec ce conte, Michu Brochel veut vous faire sourire.
Il n'est pas nécessaire d'avoir lu les autres livres avant d'ouvrir celui-ci. Mais il est probable que la lecture de cet ouvrage vous donne envie de découvrir les autres. -
"C'est une rivière, « la Vèze », qui a façonné ce pays.
De mémoire d'homme, jamais un meurtre n'avait été commis dans ce trou du monde et en quelques années quatre personnes ont été tuées, à Saint-Mars-sur-la-Vèze.
L'auteur vous emmène à la recherche des coupables. Il met en scène deux femmes : Félicité et Rosalie, pour vous promener dans cette histoire à rebondissements, un peu comme un fil rouge. Michu Brochel a voulu qu'elles soient attirantes pour être aimées par les principaux acteurs de ce roman. Il aborde de façon cocasse l'état d'esprit paternaliste de certaines entreprises locales et la liberté de moeurs de ces patrons, nouveaux seigneurs. Dans les années 50-60, beaucoup de choses étaient permises à qui avait l'argent et était maître de l'emploi pour la population locale. Laquelle se vengeait par des moqueries, sournoises sans doute. Les humains utilisent les armes à leur portée pour se défendre ou montrer qu'ils existent."