Antigone, Camille et Nina ont 13 ans et beaucoup de questions, à commencer par:la vie la vraie ça commence quand? Elles aimeraient vivre leurs aventures à elles, ne plus rester sur le bas-côté. Devenir des femmes fières et indépendantes - mais aussi euh... belles, sûres d'elles, aimées, amoureuses? Pour ça, Antigone compte bien prendre son destin en main et elle a un plan. Non deux. Trois plans. D'abord, elles vont devenir féministes. Et puis, se faire inviter aux soirées. Et puis, se trouver un amoureux. Et aussi se relooker. Non, attendez, est-ce que c'est pas antinomique avec le fait d'être féministe? Mince, et puis voilà soudain un drame familial à régler. Alors?? La vie la vraie ça commence quand?
Le choix d'un vêtement est parfois plus important qu'on ne l'imagine.
"La dame est toujours là. Elle n'arrive pas à se décider, ni pour ce pantalon, ni pour ce chemisier, ni pour cette jupe qu'elle essaie maintenant. Elle en aurait d'autres à revêtir, ce serait la même histoire. Je le sais à la façon dont elle se regarde dans le miroir, avec déception, voire avec dégoût. Elle n'a aucune indulgence pour son reflet".
Dans ces cabines d'essayage, elles passent toutes, les ados débordantes de vie, la jeune maman, l'acheteuse compulsive, la mère et son ado, la vieille dame, la kleptomane. Et bien sûr Juliette, la vendeuse, qui les observe, les conseille, plie, range, subit, encourage du regard...
Chaque situation, chaque vêtement les raconte, dit le corps de ces femmes et ce qui se joue dans cet espace exigu où leurs vies dialoguent et se rencontrent.
Un soir, dans un restaurant parisien.
Une dizaine de couples, certains en devenir, d'autres au bord de la rupture, sont venus dîner.
Le temps d'un repas, les regards se cherchent, se fuient, les mains se frôlent, se retirent. Et chacun projette sur ses voisins une vie, miroir de ses propres fêlures et désirs inassouvis.
Une scène en apparence banale. ?Pourtant, ce soir, les convives jouent gravement leur partition à chacune des tables du restaurant.
Car à mesure que les assiettes se vident, des sentiments enfouis refont surface.
Des vérités éclatent. Les masques tombent.
Et chacun, d'une façon ou d'une autre, finit par payer l'addition.
À travers un ballet d'histoires tant fantasmées que réelles, Claire Renaud raconte avec tendresse la valse amoureuse, dans toute sa complexité.
Ce livre fait partie de la sélection littérature française du Grand Prix des Lecteurs Pocket 2023.
Ondine vit avec sa soeur Marine, sa me`re Oce´ane et sa grand-me`re Pe´lagie. Entre filles, tranquilles. Jusqu'au jour ou` Ondine remarque un garc¸on, a` l'e´cole. Beau, myste´rieux, inaccessible... comment l'aborder ? Elle est comme une poule devant un couteau ! En se couchant le soir, elle lance une petite prie`re a` qui peut l'entendre...
Le lendemain, au re´veil, elle s'aperc¸oit qu'il n'y a plus une seule fille sur Terre !! Non, plus une seule. Soeur, me`re, grand-me`re, copines et mai^tresse, elles ont e´te´ transforme´es en garc¸ons... et ne se rendent compte de rien !
Est-ce un coup du myste´rieux Misteress Smith, e´trange personnage coiffe´ d'un haut-de-forme qui est apparu dans sa chambre tel un ge´nie de la lampe ?
On est quatre. Tout le monde nous surnomme "la famille dégâts" vu qu'on est que des gars... Il y a mon papi, mon père, mon frère Yves et moi, 9 ans, Louis. On vit à Noirmoutier - on récolte du sel. La mer nous nourrit, nous apaise, nous éblouit. Chez nous, ça ne parle pas, ça rit peu. Il faut dire que les femmes sont parties ; depuis, papa vit comme un ours, papi parle au fantôme de mamie et Yves est accro à la drague et à la muscu.
Et moi ? Ben, moi, j'aimerais croire que cette vie, on peut faire mieux que "presque" la vivre.
Joseph travaille au service des objets trouvés de la gare de l'Est. Plutôt taiseux et renfermé, il occupe ses journées à rêver la vie des autres à travers les merveilles qu'il garde précieusement pour eux, et à ne pas vivre la sienne. Un soir, tandis qu'il fait la tournée des trains arrê-tés, il est attiré par des bruits inhabituels... et découvre sous un siège un bébé abandonné dans un couffin. Touché plus qu'il ne le voudrait, il se résout à le ramener chez lui. Juste pour la nuit. Le lendemain, il s'apprête à confier l'enfant aux services sociaux lorsque l'émotion l'envahit. C'est une évidence: il ne peut pas le leur laisser.
Pour la première fois, une histoire entre dans la vie de Joseph...
Les soeurs Eulalie, Thérèse et Isabelle, aux tempéraments bien différents, obtiennent l'autorisation exceptionnelle de quitter le couvent des Marguerites pour venir en aide à une colonie de vacances, en manque d'animateurs.
À peine sorties du couvent, les voilà embarquées dans un tourbillon de péripéties hilarantes. Elles vont découvrir des repas plus animés que ceux qu'elles prenaient dans le silence de leur grand réfectoire, des activités déjantées qui leur feront découvrir des talents insoupçonnés, des olympiades où l'esprit d'équipe sera mis à rude épreuve et des réveils nocturnes bien mystérieux !
Depuis le retour des soeurs de la colo, l'été a passé, l'automne s'est installé et les premiers frimas glacent le couvent des Marguerites. Un matin, une lettre d'appel au secours arrive d'Ardèche : un arbre s'est abattu sur le toit de la communauté des soeurs de là-bas, la chaudière, en surrégime, a rendu l'âme, les religieuses se transforment en statues de glace. Aussitôt, les talents de soeur Thérèse, plombière autrefois dans la vie civile, sont réquisitionnés et nos trois soeurs (Eulalie, Isabelle et Thérèse) repartent pour de nouvelles péripéties, avec soeur Anne, la vieille soeur sourde, pour que les choses ne dérapent pas.
Il s'agira donc de réparer le couvent sans toit, sans chuter, de faire repartir la production de crème de marrons, et de sauver le poulailler des assauts d'un renard poulivore.
Une lettre arrive au couvent des Marguerites. C'est un appel au secours lancé par Grégoire, l'un des garçons qui participait à la colonie de vacances de l'été dernier. Ses parents tiennent une auberge "À la bonne Franquette", dans le nord de la France. Or sa maman, enceinte du petit dernier, doit garder le lit et rien ne va plus ! Son papa ne s'en sort pas en cuisine, les chambres ne sont pas faites, l'établissement n'est plus tenu. Soeur Eulalie, soeur Thérèse et soeur Isabelle se portent volontaires pour prêter main forte aux aubergistes. Soeur Gertrude, la prieure du couvent, leur adjoint soeur Anne, une vieille religieuse sourde, et soeur Lucile, la cuisinière. De repas ratés en ménages imparfaits, de cuisine qui prend feu en banquets approximatifs, les soeurs auront fort à faire pour venir à bout de leur tâche et redonner à l'auberge À la bonne franquette toute sa renommée.
« Un matin tu m'as quitté. Comme ça. Sans préavis. Tu m'as tendu une lettre, toi qui n'en écrivais jamais, pour me dire que nous deux, c'était fini. Toi, la solaire Aurélie, ma belle, mon tout. Je n'ai pas compris, même si tu écris qu'il n'y a rien à comprendre. Je cherche malgré tout des raisons, et je ne cesse de m'embourber et de choir. Il y a bien les copains, Blaise et Jen, et mon autre famille, les Tissier, le trio de matheux, Pierre, Euclide et Albert, qui tentent de me sortir des marécages, mais la blessure se creuse, et en ravive une autre, celle que je cache, et qui est bien plus profonde encore. Comment refaire surface ? »
Quand Philomène est venue s'asseoir au premier rang à côté de Victor, il s'est dépêché de cacher sa main dans sa manche. Sa main gauche, celle qui est mal fichue et qui ressemble à une pince. Celle qui fait que les autres élèves l'ont surnommé le Crabe. Philomène est nouvelle et ne doit pas savoir. Enfin, pas tout de suite. Juste le temps pour Victor de se faire connaître, de se faire apprécier pour ce qu'il est. Il le sent, cette fille est différente des autres élèves. D'ailleurs, quand elle a son regard perdu et qu'elle donne l'impression de vouloir rentrer dans sa coquille, Philomène lui fait penser à... un escargot.
C'est la déprime chez les mamies:elles se sentent seules. Lucienne a alors une idée:et si elles vivaient ensemble?De leur côté, les papis broient du noir jusqu'à ce qu'ils visitent une maison. Problème:les unes et les autres manquent d'argent et comptent donc braquer une banque. Lorsqu'ils se rendent compte qu'ils ont eu la même idée, les papis et les mamies décident de s'associer... Pour le meilleur... et peut-être le pire!Le retour du duo des Mamies attaquent! et des Papis contre-attaquent! , grands succès dans la collection Pépix!
Marcel est élégant, d'une grande gentillesse et ... tout petit. Hélène est adorable, généreuse et... vraiment immense! Sur un site de rencontre, ils se plaisent et se donnent rendez-vous. Il a peur qu'elle le trouve trop petit. Elle a peur qu'il ne voie en elle qu'une géante. Chacun cherche une ruse pour cacher sa taille.
5 histoires amusantes : les 5 doigts de la main, le club des 5 chiots, le royaume des 5 saisons, le vélo de Léo à 5 roues et les 5 ans d'un petit dragon... et un CD pour chanter, danser et faire la fête !
4 histoires tendres et rigolotes de Lili, du Prince de Guimauve-Roudoudou, de Théodore l'ourson et des quatre (oui, des quatre !) petits cochons... et un CD pour chanter, danser et faire la fête !
Deux histoires tendres et rigolotes pour fêter les deux ans de bébé avec Pilaf la girafe et ses deux girafons, et les jumelles souris Cerise et Lilas... et un CD pour chanter, danser et faire la fête.
Un bel album pour les enfants qui fêtent leurs trois ans : 3 petites pommes, 3 petites poules, et Boucle Brune et les trois sorcières enchanteront leur anniversaire. En cadeau, un CD avec les histoires lues, et une chanson pleine d'entrain pour chanter, danser et faire la fête !
6 histoires drôles et un CD pour chanter, danser et faire la fête !
8 histoires pour vivre de grandes aventures et un CD pour chanter, danser et faire la fête.
7 histoires pour s'évader et un CD pour chanter, danser et faire la fête !
7 histoires pour s'évader et un CD pour chanter, danser et faire la fête !
« Je m'inquiète. Papi ne dort plus la nuit, il va et vient dans l'appartement et fait un sacré raffut. Je crois que c'est parce que son pote, Léonard, le barreur de leur bateau au club d'aviron, a été placé dans une maison de retraite. Du coup, « l'équipe des Lascars » (l'équipe de Papi, ils ont tous des prénoms qui se finissent en 'ar', c'est pour ça) va perdre la course de dimanche, et Papi déteste perdre! Alors ils ont décidé, avec Richard l'Anglais, Oscar le prof de lettres, Bernard le pharmacien (et donc Gérard mon papi déménageur), de s'introduire dans l'Ehpad et d'en ressortir avec Léonard. Seulement, à l'entrée, il y a une sorte de Cerbère, une gardienne pas commode qui voit tout, entend tout et empêche tout. Donc il va falloir ruser... »