Dominique Belpomme
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Le livre noir des ondes ; les dangers des technologies sans fil et comment s'en protéger : un guide pour tous
Collectif
- Marco Pietteur
- 18 Janvier 2021
- 9782874341847
Cette expertise scientifique collective validée au plan international met fin aux controverses sur la dangerosité des ondes électromagnétiques qui ébranlent nos sociétés. Tout d'abord elle s'adresse à tous, en premier lieu aux malades, c'est-à-dire ceux atteints d'électrohypersensibilité, ou encore de cancer, de maladie d'Alzheimer, de maladies du système nerveux ou du coeur, ou même d'infertilité, pour lesquels un effet nocif des ondes électromagnétiques est suspecté, afin qu'ils prennent les précautions nécessaires ; mais elle s'adresse aussi aux bien-portants pour qu'ils se protègent et protègent leurs enfants et petits-enfants des impacts des ondes issues des téléphones portables, DECT, Wifi, ... et de la 5G ! Ouvrage écrit sous la Direction du Pr. Dominique BELPOMME (Cancérologue) : Pr. Olivier CACHARD (Juriste international), Jean HUSS (Conseil de l'Europe, Luxembourg), Philippe IRIGARAY (Dr. ès Sciences), Me François LAFFORGUE (Avocat), Pr. Gérard LEDOIGT (Biologiste), Pierre LE RUZ (Dr. ès Sciences, expert international) et Pr. André VANDER VORST (Physicien, Belgique).
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Comment naissent les maladies... et que faire pour rester en bonne santé
Dominique Belpomme
- Actes Sud
- Babel
- 10 Janvier 2018
- 9782330090609
Un livre qui révolutionne notre approche des maladies et de la médecine. Le Pr Belpomme y démontre scientifiquement que la plupart des affections et maladies chroniques (cancer, obésité, diabète, allergies, etc.) sont liées à notre environnement.
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Le cancer : D'hier et d'aujourd'hui ; Des progrès dans la pratique des soins mais l'accroissement persistant du fléau
Dominique Belpomme
- Eska
- Medecine
- 15 Août 2024
- 9782747235600
Ce livre s'adresse à tous, d'abord aux malades et à leur famille, mais aussi aux médecins, aux professionnels de santé et aux responsables politiques. La pandémie de COVID-19 et la guerre en Ukraine n'ont pas effacé le fléau Cancer.
Les traitements donnent l'espoir. Mais ils ont leurs propres limites. Les recherches qui les concernent aussi. Ce qui compte, c'est qu'aujourd'hui, près de 60% des malades guérissent de leur cancer et que demain il pourrait être en plus grand nombre, si les règles préventives que j'ai indiquées dans un ouvrage précédent[i], et les nouvelles découvertes répertoriées dans un autre livre, étaient respectées et appliquées. C'est le premier message de ce livre.
Mais il serait inexact, injuste et terriblement indigne de ne parler que des malades qui guérissent et d'oublier les 40% qui aujourd'hui encore ne guérissent pas et qui, chaque année, augmentent en nombre. C'est en particulier à ceux-là que je m'adresse dans ce livre. Non pas qu'ils soient les oubliés de la médecine, mais parce qu'ils sont les victimes d'une maladie qu'ils regardent en face, mais qui trop souvent, n'est pas de leur fait, car elle provient de la société ; et c'est en cela qu'est le problème et sa gravité, si nos décideurs politiques ne reconnaissent pas qu'il en est bien ainsi, et ne prennent pas les mesures qui s'imposent pour lutter contre le fléau.
En effet, contrairement à ce qui est encore affirmé, avec en 2018 une incidence de 382 000 nouveaux cas par an et 157 000 morts, et en 2023 une incidence de 433 000 cas, le cancer est dans notre pays, un fléau de santé publique non maitrisé. De trop nombreux malades ou familles de malades peuvent en témoigner, et la pandémie de COVID 19, avec ses nouveaux variants, n'a rien arrangé. En raison de l'insuffisance et de la surcharge de notre système de soins, pourtant naguère considéré comme l'un des meilleurs au monde, de trop nombreux malades atteints de cancer, malgré le dévouement des personnels hospitaliers, n'ont pu être dépistés et traités à temps.
Etant l'un des élèves de Jean Bernard et l'un des seuls survivants de l'équipe de Georges Mathé, il m'est apparu un devoir de mémoire d'informer le grand public et en particulier les jeunes médecins sur la façon dont les progrès en cancérologie ont été réalisés, et en particulier sur ce qu'ont été les très grands médecins que furent Robert Debré (1882 - 1978), Jean Bernard (1907 - 2006) et Georges Mathé (1922 - 2010), ce qu'ils ont fait et ce que j'ai vécu, personnellement, au contact des deux derniers. Ce livre a donc aussi pour objectif de contribuer à la transmission des savoirs.
C'est ce contexte historique qui m'a donné l'idée de ce livre, le constat étant que la mémoire ces deux derniers grands médecins était oubliée malgré les nombreux ouvrages qu'ils ont eux-mêmes écrits, et en particulier le livre sur Georges Mathé[ii]. Je ne m'étais pas rendu compte des extrêmes difficultés à rétablir la vérité étant donné l'ostracisme dont a été victime son père. Les critiques tiennent plus à son caractère rebelle, et franc-tireur que réellement à son oeuvre médicale et scientifique que d'aucuns jugeront révolutionnaire, si on l'analyse en toute objectivité.
C'est la distanciation qui me permet aujourd'hui de le faire, puisqu'après une douzaine d'années de bons et loyaux services au sein de son équipe, c'est en 1979, donc il y a plus de quarante ans, que je le quittais pour rejoindre l'équipe de l'hôpital Saint-Louis, et bientôt fonder la mienne à l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris, l'AP-HP, d'abord à l'hôpital Boucicaut, puis à l'hôpital Européen Georges Pompidou, avec notamment l'objectif de poursuivre l'oeuvre de Georges Mathé au plan des traitements et de la prévention, dans le cadre de l'Association pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse, l'ARTAC, que j'ai créée à Paris, et de l'Institut Européen de recherche sur le cancer et l'environnement, l'ECERI, que je dirige à Bruxelles.
Ce n'est pas seulement la succession des dates et des faits que je rapporte ici, mais l'aventure toute particulière, faite d'ombres et de lumières, d'échecs et de succès que j'ai personnellement vécus avec le médecin-chercheur et chef d'équipe que fut Georges Mathé, et que je relate sans complaisance avec le recul du temps.
On ne reste pas dans l'histoire de la médecine seulement par les fonctions institutionnelles qu'on y a occupées, mais par les découvertes qu'on y a faites. C'est là la grandeur de la science et plus particulièrement de la médecine.
C'est pour cela que je me suis attelé à la tâche de rappeler les travaux de Georges Mathé et de ressusciter son image scientifique avant d'envisager ce qu'il en est aujourd'hui des progrès thérapeutiques réalisés chez les malades, et de la non-maitrise du fléau au plan de la santé publique.
Car la survenue des cancers est liée principalement à la pollution physique, chimique et microbiologique de notre environnement, et rien n'est fait ou presque à son encontre, c'est-à-dire qu'aucune prévention environnementale n'est réellement mise en oeuvre. C'est pourquoi, comme nous le verrons, il nous faut impérativement réformer l'Institut national du cancer, l'INCa, que j'ai contribué à créer, et informer les responsables politiques sur cet état de fait.
Puisse ce livre contribuer à donner de l'espoir aux malades, et éclairer les cancérologues et hommes politiques, sur ce qu'il leur reste à accomplir. En médecine, toute innovation, thérapeutique ou tout nouveau concept, en raison de la persistance des préjugés se solde d'abord par l'opposition de la communauté médicale avant d'être acceptée, puis reconnue comme évidente. C'est ce que Jean Bernard pensait. C'est bien ce que nous constatons aujourd'hui.
Face aux modifications de notre environnement et à ses menaces, c'est autrement qu'il nous faut aujourd'hui envisager la lutte contre les maladies, et en particulier les cancers, au double plan médical et politique. Puisse ce livre y contribuer. -
Guérir du cancer ou s'en protéger : Un véritable espoir à condition de changer notre approche de la maladie
Dominique Belpomme
- Fayard
- 6 Avril 2005
- 9782213624204
Peut-on éradiquer le cancer ? Oui, si nous changeons notre conception de la maladie : tel est le message d?espoir du professeur Dominique Belpomme, président de l?Association française pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse (ARTAC).
Il y a urgence. Car si les progrès de la médecine permettent désormais de vraies guérisons pour près de la moitié des malades, aucune nouvelle amélioration significative n?est à attendre des recherches thérapeutiques. Démonstration scientifique à l?appui, l?auteur en arrive à la conclusion que ces recherches sont aujourd?hui dans l?impasse.
Or les causes des cancers ne sont pas seulement celles que l?on croyait jusqu?alors. Loin de tenir uniquement à notre mode de vie, elles sont en fait en grande partie liées à la pollution de l?environnement par les produits chimiques, l?amiante, les pesticides, les dioxines, certains additifs alimentaires? C?est ce que souligne l?Appel de Paris. Nous sommes à un tournant : c?est une politique de santé absolument nouvelle qu?il s?agit de mettre en oeuvre, fondée sur la précaution et la prévention.
Ce livre est également un guide à l?usage à la fois des malades et des bien-portants, avec sept règles précises à suivre pour guérir d?un cancer et trente recommandations pratiques pour éviter d?en être atteint. Il est écrit dans un style simple et direct, avec une grande chaleur humaine, par un médecin qui a consacré sa vie à combattre la maladie. -
Au décours de la dernière guerre, la recherche sur le cancer était moribonde, malgré la création en 1945 des centres anticancéreux par le Général de Gaulle. Sous la tutelle du grand pédiatre français que fut Robert DEBRE, un groupe de médecins, dont Jean Bernard, et Jean DAUSSET (Prix Nobel de médecine 1980), décidèrent qu'il en serait autrement. Ce qui aboutit bientôt à la réforme de 1958 dite « réforme Debré », créant les actuels centres hospitaliers-universitaires (CHU) et le temps plein hospitalier. Mais l'ère des réformes ne s'arrêtât pas là avec la création de l'Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, l'actuel INSERM, grâce à la contribution perspicace et décisive de Georges Mathé qui, comme Jean Bernard, fut l'un des élèves de Robert DEBRE.
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Les grands defis de la politique de sante en france et en europe
Dominique Belpomme
- Médicis
- 22 Avril 2002
- 9782853271660
La raison de la crise actuelle de la santé publique est, qu'au lieu de considérer l'origine environnementale des maladies et de les éviter par la prévention et la réhabilitation de l'hygiène publique, on ne les envisage qu'une fois apparues, en proposant des traitements toujours de plus en plus coûteux et risqués.
Ce livre dresse l'état des lieux de l'ensemble des problèmes sanitaires actuels et propose des solutions. Un ouvrage indispensable pour mieux comprendre la crise d'aujourd'hui et les réformes politiques qu'elle implique.
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Ces maladies créées par l'homme ; comment la degradation de l'environnement met en péril notre santé
Dominique Belpomme, Bernard Pascuito
- Albin Michel
- Documents Albin Michel
- 11 Février 2004
- 9782226142238
Depuis la seconde guerre mondiale, le nombre de décès provoqués par le cancer a doublé en France : 150 000 par an ! Le tabac, premier accusé, n'en explique que 30 000. Les autres sont essentiellement liés à la dégradation de notre environnement. Le cancer est devenu une « maladie de civilisation ».
Ce phénomène s'observe dans l'ensemble des pays industrialisés. « On soigne les malades atteints du cancer, constate le professeur Dominique Belpomme, et non l'environnement qui est lui-même malade. » Des affections cardiovasculaires à la stérilité masculine en passant par le diabète, l'asthme... nombre des maux dont nous souffrons ne sont plus d'origine naturelle mais artificielle, fabriqués en quelque sorte par l'homme. À court terme, c'est la survie de l'espèce humaine qui pourrait être mise en cause.