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Guillotel Gerard
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La Désinformation autour de La Varende
Guillotel Gerard
- Atelier Fol'Fer
- 15 Novembre 2011
- 9782357910324
Préface de Jean des Cars
Ne vous dites pas que ce livre est un livre « de plus » sur La Varende, immense écrivain disparu - mais pas de notre mémoire et de notre histoire littéraire - depuis un demi-siècle. Car cet ouvrage aborde un aspect ignoré (ou méconnu) d'une oeuvre considérable et protéiforme : quelque 85 livres publiés de 1894 à 1959, sans parler de centaines d'articles, de préfaces et de conférences.
Gérard Guillotel, disciple et ami de l'auteur des Manants du Roi, vit à Combourg, dans cette bourgade bretonne où est né le génie littéraire Chateaubriand. Elle est sise dans cette Bretagne qui fut la seconde patrie régionale du chantre normand que fut La Varende.
Nul, mieux que lui, qui a connu l'écrivain, qui n'ignore rien de toutes les facettes de son oeuvre, n'était mieux placé pour nous donner à découvrir un « autre La Varende ». Vous croyiez tout savoir du « sage » du Pays d'Ouche ? Lisez le La Varende de Gérard Guillotel, vous en apprendrez bien plus ! Parce que La Varende, ce guide des chemins du Roi, c'était bien plus que La Varende. -
Antoine d'Aure ; l'homme à cheval au XIXe siècle
Gerard Guillotel
- Belin Equitation
- 7 Juillet 1999
- 9782701126135
Antoine Cartier d'Aure, né en 1799 à Toulouse, fils posthume d'un ancien garde du corps de Louis XVI, sorti du Prytanée militaire de La Flèche, fut à l'âge de quinze ans, en 1814, élève-écuyer à l'Ecole de Versailles, conservatoire de la doctrine équestre française, codifiée au XVIIIe siècle.
Ecuyer cavalcadour de Louis XVIII et de Charles X, il passe, en 1827, à la tête du manège de Versailles. Après sa fermeture en 1830, il devient pour seize ans le prince des maîtres de manège parisiens, sous Louis-Philippe. Puis, nommé Ecuyer en chef à Saumur, il y dirige l'instruction équestre de 1847 à 1855. En 1856, il devient Ecuyer Inspecteur des Ecuries Impériales ainsi que Inspecteur des Haras Impériaux.
Jouissant alors d'une renommée européenne, il va disparaître prématurément en 1863.
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Voici l'histoire de l'élevage des chevaux français et celle d'une des plus anciennes administrations de l'Etat Français, celle des Haras Nationaux.
A l'automne 1665, Colbert entreprit d'organiser méthodiquement l'élevage chevalin en France. Il désirait, en particulier, affranchir le royaume du tribut payé à l'importation. A partir de là, demeurés sans équivalent dans le monde, nos Haras Royaux, Impériaux, puis Nationaux, ont pu fêter, il y a vingt ans déjà leur tricentenaire. Curieusement, l'évolution de la production hippique française n'avait jamais encore été analysée dans son ensemble.
Au fil d'une chronologie rigoureuse, sont parcourus, « au galop », vingt siècles d'histoire, mais toujours envisagés sous l'angle du cheval, moteur indispensable, il y a cinquante ans encore, de beaucoup d'entreprises civiles et militaires. En corolaire, une foule de personnages, non seulement célèbres mais parfois inconnus jusqu'à présent, apparaissent ici sous un jour insolite et pittoresque. Une importante étude comble une lacune.
Ce deuxième volume retrace l'histoire de 1830 à 1852. Avec des retours sous le Premier Empire et la Restauration, c'est le début de la période d'expansion et de formation des races, poursuivie sous la Monarchie de Juillet. -
Voici l'histoire de l'élevage des chevaux français et celle d'une des plus anciennes administrations de l'Etat Français, celle des Haras Nationaux.
A l'automne 1665, Colbert entreprit d'organiser méthodiquement l'élevage chevalin en France. Il désirait, en particulier, affranchir le royaume du tribut payé à l'importation. A partir de là, demeurés sans équivalent dans le monde, nos Haras Royaux, Impériaux, puis Nationaux, ont pu fêter, il y a vingt ans déjà leur tricentenaire. Curieusement, l'évolution de la production hippique française n'avait jamais encore été analysée dans son ensemble.
Au fil d'une chronologie rigoureuse, sont parcourus, « au galop », vingt siècles d'histoire, mais toujours envisagés sous l'angle du cheval, moteur indispensable, il y a cinquante ans encore, de beaucoup d'entreprises civiles et militaires. En corolaire, une foule de personnages, non seulement célèbres mais parfois inconnus jusqu'à présent, apparaissent ici sous un jour insolite et pittoresque. Une importante étude comble une lacune.
Ce troisième et dernier volume retrace l'histoire de 1852 à nos jours. Le grand mouvement précédent, freiné sous le Second Empire, sera repris activement après le vote de la loi organique de 1874. -
Voici l'histoire de l'élevage des chevaux français et celle d'une des plus anciennes administrations de l'Etat Français, celle des Haras Nationaux.
A l'automne 1665, Colbert entreprit d'organiser méthodiquement l'élevage chevalin en France. Il désirait, en particulier, affranchir le royaume du tribut payé à l'importation. A partir de là, demeurés sans équivalent dans le monde, nos Haras Royaux, Impériaux, puis Nationaux, ont pu fêter, il y a vingt ans déjà leur tricentenaire. Curieusement, l'évolution de la production hippique française n'avait jamais encore été analysée dans son ensemble.
Au fil d'une chronologie rigoureuse, sont parcourus, « au galop », vingt siècles d'histoire, mais toujours envisagés sous l'angle du cheval, moteur indispensable, il y a cinquante ans encore, de beaucoup d'entreprises civiles et militaires. En corolaire, une foule de personnages, non seulement célèbres mais parfois inconnus jusqu'à présent, apparaissent ici sous un jour insolite et pittoresque. Une importante étude comble une lacune.
Ce premier volume retrace de la préhistoire à la révolution de 1830 puis des temps les plus reculés jusqu'à la fin du Moyen Âge pour finir par l'organisation sous l'ancien Régime puis la Révolution et ses effets.
Préface de Jacques René GENDRY (11 mai 1901 - 11 avril 1983), inspecteur général, chef du service des haras, lieutenant colonel de cavalerie (ER), officier de la Légion d'Honneur, Croix de guerre 1939-45