Commentaires, des critiques, des polémiques.
0n a voulu notamment minimiser la tragédie communiste en lui déniant la possibilité de toute comparaison avec le national-socialisme. On a refusé de croire à la criminalité comme étant l'une des caractéristiques essentielles du système communiste. On a contesté la légitimité du décompte des victimes du communisme par le refus d'additionner les exécutés, les "purgés", les morts de faim, et ceux de tous les goulags. On a voulu sauver le communisme en le présentant comme un idéal de justice humaine seulement perverti par des errements ou des dérives. On a voulu aussi sauver la mémoire de Lénine en condamnant la " monstruosité " du seul stalinisme alors que le régime de terreur a bien été instauré par Lénine. On a enfin ressorti le vieil épouvantail en prétendant que Le Livre noir faisait le jeu de l'extrême droite.
Un an après, en décryptant ces objections et ces fantasmes, cet ouvrage de réflexion tente de mettre de l'ordre dans l'immense débat suscité par le livre que Libération a présenté comme un pavé dans l'Histoire.
La vie de Sancia d'Aragon, matresse de Csar Borgia, une figure qui incarne elle seule toute l'imptuosit, le got, les passions et les excs des dbuts de la Renaissance en Italie et en France.