Filtrer
Support
Langues
Prix
Norbert Multeau
-
Préface de Péroncel-Hugoz.
L'islam inquiète la France, embarrasse la démocratie, perturbe la paix civile. Devant cet intrus conquérant, la politique et l'intelligence se soumettent au nom des droits de l'homme, de la démocratie, de la tolérance...
Et la crainte d'être «stigmatisés» comme racistes et islamophobes musèle les Français.
Cet essai «colérique» fait fi de la langue de bois et du « politiquement correct » pour constater que la fille aînée de l'église est en passe de devenir la fille cadette de l'islam.
Car si nous ne faisons pas la guerre à l'islam, lui nous la fait.
Un habitant de la planète sur quatre est musulman. L'objectif est de convertir les trois autres. Sommes-nous indignés ? Révoltés ? Résignés ? -
Village de Rimbaud, coeur brûlant de l'Algérie, 1954. Avant le sang et les larmes, la fraternité et le rire. rire gouailleur et salace des enfants de deux peuples qui partagent la même existence famélique sous un soleil implacable.
Paul et Kader grandissent en frères, assoiffés de vie et d'avenir, ignorant la haine et la mort qui s'avancent inexorablement.
Férocement drôle, désespérément tendre, Paul et Kader est le roman authentique qui manquait à l'Algérie et à ceux qui l'ont véritablement vécue. Pour la première fois, les deux voix arabe et française se répondent avec une verve irrésistible.
«Un vrai et grand roman sur l'Algérie. Un thème d'une audace rare dans le genre humour à la Twain, appliqué au malheur. Le bled, l'ambiance, la nature, des personnages étonnants. C'est une tragédie avec un ton parfaitement original, une marche vers la mort en riant.» Frédéric Musso
-
-
-
En passant par l'Algérie : Dernières nouvelles du bled
Norbert Multeau
- Atelier Fol'Fer
- Xenophon
- 11 Janvier 2011
- 9782357910379
En nous donnant les dernières nouvelles du bled et en passant par l'Algérie (comme on passait naguère par la Lorraine), Norbert Multeau nous raconte des histoires, de simples histoires, d'une province française. Un peu à la façon de Clochemerle ou de La Guerre des boutons.
Nous avions fait la connaissance de ses deux héros, Paul et Kader, dans un précédent roman au titre éponyme qui, d'un seul coup d'un seul, hissait Norbert Multeau à la hauteur des grands raconteurs d'histoires de nos petites patries charnelles. Et même au-delà car ses deux lascars, deux louettes comme on disait là-bas, sont les cousins naturels de Tom Sawyer et Huckleberry Finn. Dans un contexte méditerranéen, un peu macho, un peu rouleur de mécanique, mais baigné de lumière et d'une infinie tendresse.
Les aventures de ces deux garçons, copains comme cochons (même si Kader pourrait trouver le rapprochement osé), nous en disent finalement beaucoup plus sur les réalités de notre province disparue que de pesants et érudits ouvrages. On rit, on pleure, on s'aime. Et tout ça faisait d'excellents Français !