Au XVe siècle, lorsque les Espagnols découvrent les Hautes Terres du Guatemala ou la péninsule du Yucatàn, il y a déjà près de sept siècles que s'est éteinte la splendeur classique maya. Les cités, en ruines, dévorées par la forêt tropicale, ne seront redécouvertes qu'à partir du XIXe siècle. Au-delà du cliché d'un empire dont le peuple, tantôt laborieux et pacifique, tantôt cruel et sacrificateur, se serait consacré à la seule contemplation des astres, Paul Gendrop fait le point des connaissances sur cette grande civilisation mésoaméricaine.
Au XVe siècle, lorsque les Espagnols découvrent les Hautes Terres du Guatemala ou la péninsule du Yucatàn, il y a déjà près de sept siècles que s'est éteinte la splendeur classique maya.
Les cités, en ruines, dévorées par la forêt tropicale, ne seront redécouvertes qu'à partir du XIXe siècle. Au-delà du cliché d'un empire dont le peuple, tantôt laborieux et pacifique, tantôt cruel et sacrificateur, se serait dédié à la seule contemplation des astres, cet ouvrage fait le point des connaissances sur cette grande civilisation méso-américaine.
Au XVe siècle, lorsque les Espagnols découvrent les Hautes Terres du Guatemala ou la péninsule du Yucatàn, il y a déjà près de sept siècles que s'est éteinte la splendeur classique maya. Les cités, en ruines, dévorées par la forêt tropicale, ne seront redécouvertes qu'à partir du XIXe siècle.
Au-delà du cliché d'un empire dont le peuple, laborieux et pacifique, se serait dédié à la seule contemplation des astres, cet ouvrage fait le point sur les connaissances d'une civilisation mésoaméricaine, celle des Mayas.