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jean louis vallecalle
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"Chez nous, les hivers sont rudes car, comme le prétend ma mère, l'argent du foyer semblant atterrir dans les bistrots, nous n'allumons jamais le chauffage. Alors, mon corps meurtri doit supporter un nombre incalculable de couvertures qui ne font, en plus du froid qui s'infiltre à travers mon infirmité, qu'accentuer mes douleurs. Cette saison est si longue que parfois je voudrais mourir. Mon frère doit aussi souffrir du froid, parce qu'il n'oublie jamais, quand il vient me voir, de me border.
Ensuite, il s'assied au bord du lit, m'enveloppe de ses bras, et chasse tout l'air qui pourrait s'être engouffré dans mes draps." La narratrice est une jeune fille handicapée, incapable de se mouvoir et de parler, réduite à des fonctions végétatives. Son seul véritable contact : un frère aimant. L'auteur accompagne le cheminement intérieur de son personnage dans un récit sobre et précis. Mon frère : un témoignage poignant et sensible aux puissances de l'écriture, de la folie et de la chair.
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Un gitan et une fille d'aristocrates se rencontrent lors d'une Rave party. Tout les oppose, et pourtant...
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Il n'y a pas un million d'heures dans un siècle
Jean-louis Vallecalle
- Editions Du Net
- 26 Juillet 2016
- 9782312045542
On a souvent tendance à penser que la vie peut nous sembler interminable, en considérant la façon dont nous l'employons. Pourtant, elle ne dépasse qu'exceptionnellement un million d'heures. Pouvons-nous réellement gaspiller un bien aussi précieux?
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J'ai écrit ce roman pour ne pas oublier ce fait divers qui s'est passé dans le sud de la Corse et qui semblerait, pour moi et pour certains d'entre nous, quelque chose d'inimaginable. Après tout, qu'importe la réaction de chacun. Bien qu'assez sombre, l'histoire me paraît suffisamment belle pour savoir qu'elle vous touchera.
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Une main tendue annonce l'histoire d'amour d'une femme pour un homme, dont les sentiments n'ont rien de réciproque. De là, va commencer pour elle, une lutte sans merci, afin d'espérer ne fusse qu'un élan de celui-ci.
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A travers une histoire d'amour singulière, ce roman, tiré de faits réels, donne un aperçu de ce qu'endurent certains individus qui se retrouvent contraints de subir la pression que leur impose le système et qui pourrait pourtant paraître dérisoire, voir insignifiante. Insignifiante comme le grain de sable dans le rouage qui parvient, si rien n'est fait, à rendre la machine inutilisable.
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Voici un roman dont la chute ne peut être qu'imprévisible, malgré des indices qui ne cessent de se succéder tout au long d'une histoire consacrée, avant tout, à l'amour et à l'amitié.
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Barrez-vous tous, que je vous invite à boire
Jean-louis Vallecalle
- Editions Du Net
- 19 Octobre 2016
- 9782312048611
Nous entrons, avec une écriture moderne afin de rendre cette histoire crédible, dans un monde où seules la provocation et la liberté de langage règnent. Difficile, pour ceux qui n'intègrent pas le milieu de Loulou, de débusquer une bribe de poésie, alors que celle-ci, bien que triviale, est présente tout au long de ce roman. Christian devra se fondre dans cet univers, qui est pourtant à l'opposé du sien, pour parvenir à en déchiffrer les subtilités.
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Chassés-croisés entre plusieurs personnages destinés à vivre une succession d'événements. Malgré les regrets et les pardons, rien ne pourra réintégrer cet élément indissociable de l'amour. Comme un feu d'artifice qui s'efforce d'éclairer le ciel pour le rendre, en définitive, plus sombre.
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Francis, dépendant à l'alcool, rencontre, lors d'un vernissage, Léa qui restera déterminée, malgré ce fort handicap, à ne pas lui lâcher la main.
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J F pourra-t-il changer le cours de sa vie en se faisant passer pour celui qu'il n'est pas ? Maryline arrivera-t-elle à lui pardonner ? Et qu'adviendra-t-il à l'un comme à l'autre si la vérité éclate ?
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La rencontre de deux adolescents que tout sépare et qui vont pourtant se compléter dans l'univers de l'autre.
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C'est simple, clair, limpide, et on se laisse surprendre, comme dans la vie, avec cette chose en plus qui s'appelle la fiction, et qui fait qu'on voit les choses d'un peu plus haut que quand on se contente d'exister.
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Rencontre d'individus singuliers qui finiront par établir entre eux une relation très étroite à l'intérieur, ainsi qu'à l'extérieur, d'un hôpital psychiatrique.
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Il y a dans la vie des opportunités que l'on ne peut se permettre de laisser passer car il est essentiel, quel que soit le choix de chacun, de vivre chaque jour pleinement.
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Comme j'étais loin d'imaginer que Viviane allait me mettre à la porte et que plus rien ne me retenait à Toulouse, je pris un billet d'avion à destination de la Corse pour vendre, après l'accord de mon frère, une partie des biens que nous possédions sur l'île. Juste après le décollage, je pris conscience d'aller tout droit vers quelque chose de tout à fait nouveau. D'autant plus que mes dernières connaissances sur l'île dataient de plus de trente ans.
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Il y a Pascal, Christine, Corinne, Jean, Bébert, Rachel et bien d'autres. Il y a aussi Teuf-Teuf, Biscuit et Rick, trois chiens avec, pour chacun d'eux, un parcours différent. Tout au long de ce roman, les relations entre l'homme et l'animal vont évoluer, jusqu'à se sacraliser.