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Tourisme & Voyages
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La baie de paulilles, sur la commune de port-vendres, fut choisie en 1870 par alfred nobel pour accueillir la première dynamiterie de france.
Le site est isolé, loin de nos frontières avec la prusse. en 1984, l'usine ferme définitivement ses portes. le site est convoité, en vain, par des promoteurs immobiliers. le conservatoire du littoral rachète le site en 1998 et le réhabilite de fond en comble. une aventure.
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Des promenades écologiques et littéraires, chargées de sel et de vent, en compagnie de journalistes, d'écrivains, de plaisanciers ou de navigateurs chevronnés, à la découverte des sites du Conservatoire du littoral sur les rivages de Bretagne : la Côte d'Émeraude, l'abbaye de Beauport à Paimpol, le sillon du Talbert, l'archipel des Sept-Iles, le jardin exotique Georges-Delaselle sur l'île de Batz, la pointe du Raz et la baie d'Audierne, le pays de Lorient et l'île de Groix, le golfe du Morbihan...
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Les vautours fauves ont recolonisé les gorges de la jonte.
Les réintroductions menées sur le parc national des cévennes sont placées sous le signe de la réussite. aux yeux des randonneurs, grands tétras, cerfs, castors. disputent la vedette aux châtaigniers, à la forêt de l'aigoual, aux mégalithes du causse et du mont lozère ou encore aux vestiges de l'histoire des cévenols, tour à tour camisards, paysans, soyeux ou mineurs. ce parc national, habité en permanence, a toujours joué deux cartes, celle de la culture et de la nature.
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Normandie ; promenades écologiques et littéraires
Jean-Jacques Lerosier
- Actes Sud
- Nature
- 14 Juin 2007
- 9782742768226
des promenades écologiques et littéraires, chargées de sel et de vent, en compagnie de journalistes, d'écrivains, de plaisanciers ou de navigateurs chevronnés, à la découverte des dites du conservatoire du littoral sur les rivages de normandie : la valleuse d'antifer, les batteries de merville, la pointe du hoc, la réserve naturelle de beauguillot, utah beach, tatihou, la hague, les dunes d'hatainville, chausey, la pointe d'agon, la baie du mont-saint-mihel...
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Qui n'a rêvé de survoler la Camargue dans le sillage d'un flamant ? de s'affranchir des routes, des haies et de la ligne d'horizon ? Le point de vue aérien offre cette liberté.
Il livre le delta du Rhône dans son immensité et son intimité. Il en déploie la beauté sauvage et bien souvent étrange. S'élever révèle aussi l'activité des hommes, leurs façons d'aménager l'espace et d'exploiter les richesses naturelles. En une centaine d'images, l'ouvrage se propose de balayer la diversité des ressources, des contraintes, des enjeux. Chacune des vues, groupées ici par types de paysage, vient porter un message.
Un commentaire en explicite le sens, convoquant histoire, économie, environnement et société, s'interrogeant sur l'aménagement du fleuve, la difficulté d'habiter, la fragilité de la riziculture, l'avenir des salins, la gestion du littoral, la protection de la nature. Autant de lectures que chacun pourra compléter de sa propre expérience. Car cette exploration, réalisée pour le plaisir des yeux, est aussi une invitation à faire travailler le regard, à lire entre les lignes par-delà l'évidence.
Plus qu'une découverte, survoler la Camargue est un véritable questionnement sur les rapports de l'homme à son environnement.
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Promenades parisiennes ; dix promenades de la rive droite
Jérôme Godeau
- Actes Sud
- Nature
- 29 Avril 1999
- 9782742721467
Oeuvre de l'esprit et du hasard, des aléas de l'histoire, la ville est aussi architecture du rêve.
Ni la volonté politique, ni la science des architectes ne suffisent à l'expliquer entièrement. les attentes, les pensées, les désirs de ceux qui ont vécu dans ses murs, marché dans les rues, déambulé sur les places, l'ont également façonnée. et l'écho de toute cette mémoire transmuée dans la pierre, de tant de présences lointaines ou proches, retentit sous le pas du promeneur, parfois de manière inattendue.
Rien de plus favorable à la découverte que l'humeur vagabonde : la ville ne se livre que si l'on prend le temps de flâner, d'échapper à la cécité de l'habitude.
Ni guide, ni inventaire, ni description en règle, chacune de ces dix promenades incite donc le promeneur de paris à prêter une oreille attentive à " la voix des choses ", à relire les façades les plus ordinaires ou les plus glorieuses d'un autre oeil, à parcourir la ville comme les pages du temps retrouvé.
Chaque texte est accompagné de photographies contemporaines mais aussi de clichés de marville ou d'atget, d'aquarelles, de gravures ou de toiles - héritage précieux désormais conservé au musée carnavalet, musée de l'histoire de paris. autant d'images et de mots pour inviter le promeneur à recomposer le visage éternel et changeant de la capitale. " tu crois rêver et tu te souviens ".
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Une petite anthologie pour découvrir l'histoire des jardins parisiens et méditer, sans regret, sur les métamorphoses du paysage urbain. Du "jardin royal des plantes médicinales" à la révolution du jardin public, des parcs paysagers du Second Empire aux promenades plantées du XXIe siècle, à l'audace des friches contemporaines... Dispersés dans le corps minéral de la ville, les jardins publics ouvrent des perspectives magistrales, des respirations secrètes, mais tous distillent un "charme d'attardement". Chacune de ces promenades est une invitation à la flânerie. Tenu par la main dans le méandre des rues et des allées, le long des massifs, à la découverte des essences rares ou des plantes "sauvages", le promeneur peut tour à tour s'imaginer botaniste, paysagiste, historien... Ou simplement se laisser gagner par un flot d'impressions et d'images, dans les odeurs de terre, de montées en graine soulevées par l'été. Entre nature et artifice, le jardin est toujours la germination d'un songe.
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Situé entre narbonne et les plages de gruissan, narbonne-plage et saint-pierre-sur-mer, qui font la renommée de la côte languedocienne, le massif de la clape a su préserver la magie d'une nature sauvage.
Paradis des rapaces qui aiment à se nicher dans les anfractuosités de sa roche calcaire, des échassiers arpentant l'étang de pisse-vaches qui s'étire à ses pieds, il est parcouru de nombreux itinéraires plongeant le visiteur dans un univers secret et envoûtant.
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Réfugié sur les contreforts des anciens rivages, Jean-Claude Lefeuvre a vécu l'enfance de tous ces Bretons terriens amoureux de la mer, le corps dans le bocage, le coeur noyé dans l'horizon sans fin d'un monde étrange, fasciné par la beauté irréelle du Mont, superbe joyau enchâssé dans l'écrin d'une baie vivante qui respire au rythme des plus grandes marées du globe.
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Cet ouvrage livre, comme un rite initiatique, les clés de deux sites reconnus internationalement pour la qualité de leur milieu naturel : la baie de somme et le marquenterre.
Rencontre avec le vent, la lumière, les oiseaux, mais aussi avec un vieil aristocrate, des hénoniers et le créateur du parc ornithologique.
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Autrefois étangs de pêche, les Pesquiers, à Hyères, furent aménagés en salins en 1848. Les Vieux Salins remontent à l'Antiquité. L'exploitation du site ne s'est pourtant véritablement développée qu'à partir du Xe siècle. Exploités depuis la fin du XIXe siècle par la Compagnie des Salins du Midi, Pesquiers et Vieux Salins sont désormais propriété du conservatoire du Littoral. Ainsi s'ouvre une nouvelle page de l'histoire du site, où mémoire du sel et lieu d'acclimatation pour la flore des milieux saumâtres et l'avifaune se conjuguent harmonieusement.
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Corse ; promenades écologiques et littéraires ; guide du conservatoire du littoral
Collectif
- Actes Sud
- Nature
- 23 Mars 2009
- 9782742780532
Des promenades écologiques et littéraires dans de somptueux décors de calanques et de maquis, le long de plages de sable fin, du Cap Corse aux Bouches de Bonifacio, en compagnie d'un journaliste, d'un écrivain, d'un scientifique, d'un gestionnaire de sites. dont le point commun est d'aimer passionnément «l'île de Beauté». Les Calanche de Piana, le fort de Girolata, la tour de Campomoro, bien sûr, mais aussi, si vous levez les yeux : le puffin cendré, la fauvette sarde, le grand corbeau, ou l'emblématique balbuzard pêcheur.
Un itinéraire qui nous fait découvrir la fragilité des rivages et l'immense travail accompli par le Conservatoire du littoral depuis un peu plus de trois décennies.
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Malgré une violente polémique, les ours bruns ont été réintroduits dans ce parc, où les hommes ont toujours voulu vivre librement.
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Dans le Sartenais au sud-ouest de la Corse, e la tour génoise de Campomoro à celle de Senetosa, le rivage aujourd'hui inhabité émule près de 25 kilomètres de pelouses littorales, de pointes rocheuses, d'îlots et de tafoni sculptés par la mer et le vent sentiers y font des boucles qui mènent à des criques de sable étroites et profondes comme des nacres. A moins qu'ils ne vous conduisent à travers le maquis, sur les chemins de la mémoire, vers les secrets du pays intérieur. Cette côte sauvage est protégée par le conservatoire du littoral.
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L'estuaire de la Gironde, le plus vaste d'Europe, abrite de nombreuses îles. Certaines ont accueilli des fortifications pour protéger Bordeaux des attaques navales. D'autres ont eu une vocation viticole, à l'abri du phylloxera. Aujourd'hui, pour la plupart désertées, elles sont exploitées par l'agriculture intensive. Le Conservatoire y préserve des espaces naturels ou «renature» les terrains agricoles. Leur inaccessibilité leur confère une quiétude très appréciée par l'avifaune.
Parce que chez ces gens-là (ribeirou, ilous ou gabay), monsieur, on ne cause pas beaucoup, sinon à la veillée des longues nuits d'hiver, leur rivière - comme ils disent - n'a pas la renommée qu'on reconnaît à d'autres estuaires. Et pourtant, l'estuaire de la Gironde est bel et bien le plus grand d'Europe, s'étirant sur 80 kilomètres depuis le bec d'Ambès, où fusionnent les eaux de la Dordogne et de la Garonne, jusqu'à son embouchure où le phare de Cordouan se pose en vigie depuis 1584. Mais cette part de mystère qui l'enveloppe sied bien au caractère d'un pays où rien ne vaudrait que d'écouter le friselis du clapotis contre ses deux rives où se mirent sur l'un versant les vignobles
du Médoc, et sur l'autre les côtes de Blaye ou de Bourg ; sinon d'intercepter les piaillements d'une rémiz penduline ou d'une panure à moustaches, petits oiseaux du cru nichés dans une biosphère protégée que leur envient les canards et les oies sauvages en ligne de mire des «tonnes» postées dans les marais. Si les oiseaux survivent encore à la fièvre cynégétique de l'automne, quand vont remplir les cuviers de Beychevelle ou de Bellevue les graines de ce raisin dont le vin, le sang de la terre de Gironde, transitait naguère par l'estuaire, les poissons lentement se meurent. L'alose, l'anguille et la lamproie se disputent toujours l'ingéniosité culinaire de très secrètes recettes, mais la civelle, l'esturgeon et le saumon ont migré en des eaux plus apaisées. Pourtant, les nombreux ports et cabanes qui balisent les rives de la Gironde
témoignent à l'envi d'une tradition ancestrale. Les moulins, aujourd'hui, ne brassent plus que du vent. La maïsiculture a rendu les armes devant la viticulture. Jusque sur les îles de l'estuaire qui, n'en déplaise aux châteaux
environnants, drainent vers elles une nouvelle génération de touristes plus
enclins à l'écologie dont le Conservatoire du Littoral a semé les graines au couchant du XXe siècle.
L'occasion de revisiter «l'île verte», comme six autres îles de l'estuaire de la Gironde dont l'histoire sert de caisse de résonance pour tous ceux à qui un trait virtuel tiré de Braudet-Saint-Louis (centrale nucléaire) au Verdon (port méthanier) dessine déjà la diagonale du fou.
L'estuaire de la Gironde
Christian Grené
Illustrations de Michel Vignau
B. P.