« J'ai commencé à ne plus vraiment aimer maman à partir de cet événement-là. J'ai commencé à franchement réaliser que je pouvais mourir aussi, que mes soeurs et mon frère pouvaient mourir également, que ma mère pouvait nous laisser et nous abandonner définitivement, plus définitivement qu'à cet instant. » Née à Tananarive, Bertrande y découvre très jeune la fragilité de la vie. Sa mère, de son côté, enchaîne les conquêtes amoureuses néfastes en délaissant la petite fille. Une enfant qui cherchera toujours à courir après des attentions inexistantes. L'amour maternel, l'amour fraternel, l'amour physique, l'amour passionnel : des instances qui l'accompagneront ou lui manqueront tout au long de sa vie.
Un roman sur l'amour à son point le plus universel.
Barnabé, c'est lui la Première Matière, Car avec tous ses compères, Il compose un drôle de bestiaire Celui d'Ador, Un artiste au fertile imaginaire, Qui s'exprime de plein de manières Et réalise des oeuvres à ciel ouvert !
Il était une fois une jeune sorcière qui s'appelait Moufette. Sa mère était la plus diabolique sorcière du village et créait sans cesse de nouvelles potions pour transformer les gens en citrouilles, en choux de Bruxelles, en cochons... ou pire encore !
Mais lorsque sa mère tombe entre les griffes du monstrueux Chaoursien, Moufette n'hésite pas et tente tout pour la délivrer. Sur sa route, elle affronte des dangers, fait de drôles de rencontres et vit des aventures extraordinaires !
Mais le Chaoursien est-il réellement si dangereux ? Et s'il suffisait de le comprendre pour devenir son ami...
Un conte pour petits et grands qui aborde l'amitié, la différence et l'acceptation de l'autre pour toujours voir le monde qui nous entoure avec des yeux justes et tolérants.
Vers 1720 la France se relève peu à peu de la faillite de la banque de Law, mais les dépenses et déficits s'accumulent : à la mort de Louis XV en 1774, l'État français est déficitaire de... 25 millions de livres.
Pourtant un certain Benjamin Franklin va obtenir un appui militaire et financier de la France en 1776 pour renverser le potentat de la couronne britannique sur treize de ses colonies américaines, peu avant la Révolution française, afin de créer les futurs États-Unis d'Amérique.
Le point commun entre Benjamin Franklin et l'isle Bourbon ? Les Compagnies des Indes, bien sûr.
Loin d'être un maillon faible de la réussite à la française, la petite île a su prouver à travers les années qu'elle savait et continuait encore aujourd'hui à gérer toutes les situations de crise avec ce discernement qui caractérise si bien les îliens.
Ancien chargé d'enseignement à l'Université de La Réunion, Didier Murat a aussi été formateur afin d'aider les chômeurs à la gestion de leur projet d'entreprise sur l'île. Il y a également oeuvré en qualité de membre du bureau au sein de diverses associations. Après L'euro raconté à nos enfants publié aux éditions Amalthée, il livre ici son quatrième ouvrage.
"Ils sont partis, les hommes de mon village, combattre les Namnètes qui avaient le malheur de convoiter un peu trop ouvertement les terres riches à la frontière de nos territoires. Ce genre de situation en appelle aussitôt à la guerre. Et c'est toujours une guerre sans pitié. Et pendant qu'ils se battent, se déciment, s'envoient dans le royaume des dieux, nous, au village, on fait semblant de continuer la vie comme avant, comme si de rien n'était".
En 80 av. J. -C. , un jeune Gaulois grandit dans un village d'Armorique. Son père lui transmet l'art d'écrire reçu d'un voyageur et, plus que tout, la fierté de son peuple. Devenu chef du village à son tour, il est pris dans la tourmente de la Guerre des Gaules. Fait prisonnier, réduit en esclavage, il n'oublie pas qui il est ni d'où il vient et puise dans le souvenir de son enfance la force de résister.
Une destinée extraordinaire l'attend...
La pensée nietzschéenne et ses traces stimulent bon nombre de penseurs issus de la réflexion des années 60, que ce soit outre Atlantique ou en France, tels que Jean-François Lyotard, Jacques Derrida ou Jean- Luc Nancy pour ne citer qu'eux. Les écrits de Nietzsche ont été enfouis, sous l'effet des manigances de sa soeur, Elisabeth Foster Nietzsche, dans le registre fasciste voire nazi, notamment autour de la volonté de puissance. Puis, ses aphorismes ont été réappropriés par plusieurs mouvances anarchistes. pour, finalement, les retrouver sur nos tee-shirts partout dans le monde !
Donc, qu'en est-il en réalité ? Comment l'associer à des mouvements aussi antinomiques ? Et surtout comment cela est-il possible !?
C'est, justement, pour son affection particulière pour le corps et ses zones d'ombre comme « l'inorganique », composante essentielle de sa fameuse volonté de puissance, qu'il bouscule l'ordre métaphysique imposant, depuis des siècles, toutes ses lois d'évidence et de certitude rationnelle.
C'est en inoculant un virus énorme par la reconnaissance du corps !
Par sa réflexion sur la créativité du corps et non de Dame Nature, il fait basculer aussi bien le rationalisme des Lumières que le romantisme protéiforme. Ne l'oublions pas « Dieu est mort », nous avons récupéré notre corps !
Alors, comment comprendre qu'il octroie sa préférence au classicisme tout en insinuant une forme « d'inconscient », du moins de jaillissement non maîtrisable ? Comment faut-il entendre son terme de « classique » autrement que sous la forme d'une nouvelle facétie aphoristique ?
Alors, ne serait-il qu'un dandy versatile, attiré, dans son fond, par l'altérité joyeuse ? Un polymorphe !?
Les dés sont jetés, un nouveau jeu peut commencer.
« Réalisant jouer à cache-cache avec le destin, Sophie prit la ferme résolution de chercher autant que possible à tenir les rênes.
L'air de flûte préparait la voie à suivre. Son caractère mystérieux mais envoûtant lui rappelait ces berceuses qui l'aidaient, enfant, à trouver le sommeil. Il s'agissait, ce jour, d'ouvrir en grand ce qui, chez beaucoup, reste fermé, y compris aux moments clés de l'existence. » La flûte de Pan offre une suite à L'Oiseau d'or. Dans les années 1980, une famille tente de se reconstruire après un drame. Oscillant entre simplicité et prise de tête, Sophie, Paul, Laurence... se cherchent à tâtons.
Au carrefour de leurs échanges et mésaventures, Capucine, une fillette de onze ans confrontée au harcèlement scolaire, disparaît.
A travers les doutes, les désillusions mais également l'espoir, les personnages s'élèvent et se recomposent.
Maître de conférences des universités, mère de quatre enfants, Clotilde Brunetti-Pons travaille dans le domaine du droit de la famille et de la protection de l'enfance. Après L'Oiseau d'or, elle nous livre un second roman tout en sensibilité.
«?Je sais ce que je vais trouver en Algérie mais j'y pars néanmoins avec une certaine curiosité et la volonté de pouvoir être militant de l'Homme, malgré l'étau militaire et la perte de ma liberté d'expression. Savoir mais aussi voir constitue ma disposition d'esprit.?».
Au travers de son journal de bord, tenu entre?1959 et?1960 en plein coeur de la guerre d'Algérie, René Knégévitch nous présente son parcours d'appelé sursitaire, affecté au 403e R.A.A., à Aflou, dans le Djebel Amour.
De cette guerre violente découle un témoignage violent. Lorsque le quotidien est rythmé par des ratissages, des accrochages, des sévices, la torture, mais aussi par la peur et la mort, que reste-t-il pour un humaniste pacifiste ?
Sans tabou, l'auteur nous livre ses émotions et ses réflexions tandis que le djebel tonne et que le sang coule. Un récit nécessaire et intime qui offre un regard de l'intérieur sur la guerre qui a bouleversé l'Algérie.
«?J'ai peur, comme jamais je n'ai eu peur auparavant. Peur de ne plus connaître mes limites, de ne pas savoir relever la tête, de finir noyé sous toutes ces pensées de culpabilité, de dégoût envers moi.?».
Les souffrances ne sont pas toutes physiques.
Affligé du Syndrome de Stress Post-Traumatique, Julien Bry se livre à coeur ouvert pour que cette plaie «?invisible?» ne soit plus un tabou. Pour panser les souffrances, l'écriture devient son salut, sa victoire sur son expérience personnelle. De ses opérations militaires bouleversantes en Afghanistan et au Mali au retour à la réalité, nous découvrons l'être humain derrière l'uniforme.
Un témoignage émouvant qui fait la lumière sur les blessures de guerre psychiques.
Nous connaissons beaucoup sur un sujet aussi sensible que l'esclavage du point de vue de l'opprimé, mais qui sont les acteurs qui ont lutté en amont afin que la liberté triomphe et devienne un enjeu humain universel ?
Car si l'on trouvait des anciens engagés et des colons blancs sur l'île de la Réunion, l'on remarquait aussi des colons noirs qui comptaient dans leurs rangs et à leur service des engagés ou des esclaves. Comment est-ce possible ? Une pareille situation remet ainsi en cause les caractéristiques du rang administratif (esclave, engagé, maître ?) de la «?condition humaine?» de ceux qui vivent dans un même lieu. Au-delà de la délinquance et des mauvais traitements, cela démontre que le monde créole à la Réunion n'était peut-être ni tout blanc, ni tout noir.
Alors, la lutte de l'opprimé serait-elle le seul facteur dans le basculement de ce modèle d'esclavage en vigueur sur l'île ? D'autres catalyseurs comme «?La Lutte du Peuple Français?» ou d'autres situations de fait centrées sur une cause juste ont-ils contribué à aboutir à ce résultat inéluctable ?
À travers une lecture dépassionnée à la lumière des faits et sans aucun jugement, l'auteur propose ici une rétrospective richement documentée de l'histoire de l'abolition de l'esclavage de Napoléon à Victor Schoelcher.
« Pour tous ceux qui cherchent à conserver un corps vigoureux, un esprit vif, ce livre peut devenir un guide précieux : tremplin d'une aventure enrichissante où chacun apprendra à se connaître davantage. ».
Né en Inde il y a quelques milliers d'années, le HATHA-YOGA permet d'augmenter la force et la souplesse du corps et de l'esprit. Grâce au grand choix de postures, d'exercices respiratoires et autres techniques, cette discipline mène peu à peu à un renforcement de l'énergie vitale et à une meilleure concentration.
En améliorant la santé générale, en combattant le stress et l'agitation mentale, la pratique de cet art venu d'Orient ouvre de nouvelles portes et permet à chacun de s'accomplir dans sa spécificité.
Fruit d'une recherche et d'une expérience de plus de quarante années, ce guide propose de nombreux exercices pour faire travailler le corps et l'esprit en toute unité. Construit sur une progression pédagogique éclairée, chacun peut y puiser à son rythme ce dont il a besoin pour s'épanouir.
Gustave, au service d'une agence de contrôle du surnaturel, a 24 ans lorsqu'il découvre au cours d'une mission un nourrisson né d'une mère loup-garou. Ne pouvant se résigner à livrer l'enfant à son collègue, ce qui le condamnerait à une mort certaine, il décide de l'adopter. Dix-sept ans plus tard, la découverte du portrait de son fils adoptif dans la poche d'une créature surnaturelle fraîchement abattue va venir éveiller les soupçons d'un collègue. De toute évidence quelqu'un s'est lancé à la recherche de son fils. Il devient de plus en plus certain que l'équilibre de la vie de Gustave va être chamboulé.
Au travers d'un récit haletant campé dans l'atmosphère du XIXe?siècle, Justine Amélie Lucile plonge son lecteur aux racines du récit fantastique aux couleurs gothiques.
«?C'est un vrai coup de foudre. Cet amour, quasi impossible car la guerre va sans doute bientôt nous séparer, faut-il le vivre ? Faut-il succomber ? Quitte à sombrer secondairement dans les affres de la séparation et du chagrin ??».
Peut-on s'aimer en étant ennemis ?
En 1943, la France est éprouvée par l'occupation allemande qui la prive de son élan vital.
Dans ce monde où la vie et la mort se tiennent par la main, un médecin de campagne solitaire et une supérieure de l'armée allemande succombent à une passion interdite.
Lui, chef de la résistance.
Elle, femme officier.
Une liaison impossible au coeur de la Seconde Guerre Mondiale.
Le dalaï-lama et son « gouvernement en exil » à Dharamsala n'ont pas attendu notre siècle pour inonder le monde de fake news. À force d'être répétées, ces infox finissent par apparaître vraies aux yeux de l'opinion occidentale pour qui la problématique tibétaine se réduit souvent à un affrontement entre des « bons » (les exilés tibétains) et des « méchants » (les Chinois).
La réalité est pourtant bien différente. Maintenant que les archives britanniques et américaines ont été déclassifiées, ne serait-il pas temps d'une mise à jour sur la situation ?
Cette oeuvre dresse la liste des contre-vérités, des ambiguïtés et des silences qui sont légion à propos du Tibet. Un petit livre qui tombe à pic en ce 60e anniversaire de la fuite du dalaï-lama !
Le lecteur est invité à se laisser porter par la musique du style et le souffle de l´inspiration qui s´harmonisent de poème en poème, tout au long de ce recueil. Le « Parfum d'exil » se décline en plusieurs « notes » : après la synthèse alchimique des « Impressions », mariage des sensations entre la nature et le monde intérieur du poète ; les « Visages d´Ève » nous invitent à retrouver le Féminin de notre être, lieu des mémoires et de la sagesse perdue ; « Rites » réveille notre sens du sacré, entre puissance symbolique et union magique des pôles féminin-masculin ; « Hommages à la beauté » est un appel aux poètes, pour qu´ils « ré-enchantent le monde », qu´ils redeviennent des « fous d'amour ».
Face à tous les bouleversements de nos repères et les gestations difficiles de nouveaux modes de vivre-penser-sentir : « Il faudra trouver une autre direction à notre quête, transformer notre soif en délire solennel, guetter dans l´absurde le frisson de l´évidence. »
Jetée sur les routes après les bombardements du 6 juin 1944 à Caen, une famille de dix-huit personnes tente de survivre en traversant la Bataille de Normandie qui fait rage. Tous en ressortent vivants, dont une petite fille de cinq ans qui n'a jamais oublié. Soixante-dix ans après, elle rappelle ses souvenirs : Caen fin 1943, la fracture du 6 juin, quatre mois de dangers, l'installation à Paris qui fut un changement brutal dans la vie de la famille.
Prenez le temps d'imaginer, Bien loin du monde où vous vivez, Trois monstres aux griffes acérées, Plongés au coeur de la forêt.
Rien n'aurait pu laisser penser, Qu'une seule rencontre suffirait, À vous conter longtemps après, L'histoire du livre que vous tenez.
En 1857 Henriette Vercoutre, stagiaire dans un grand journal du Nord, est envoyée pour couvrir les célébrations de la naissance d'Arcachon que l'empereur vient de proclamer par décret.
La jeune femme se prend au jeu et tombe deux fois amoureuse : du Bassin d'Arcachon - forcément ! - et d'Auguste, un fils de famille bordelaise qui rêve de fonder une pêcherie moderne sur la Petite Mer.
Alors sa vie va basculer. Elle va découvrir l'extraordinaire temps des « Fofolles », ces villas insensées qui poussent en Ville d'hiver, le quartier chic de la toute jeune cité.
Mais tout n'est pas rose pour autant. À cette époque des premiers chalutiers à vapeur les naufrages se font certes plus rares mais beaucoup plus meurtriers. L'ostréiculture cherche à s'organiser dans un contexte d'incertitude. Et pour les familles la vie n'est pas toujours facile...
Après La Pinasse Mauve (1919-1977) et Friture sur la Petite Mer (1978-2015), Au Temps des Fofolles (1857-1918) est le troisième volet attendu de la saga romanesque de Jean-Pierre Castelain. Découvrez ou redécouvrez 160 ans de l'histoire passionnante du Bassin d'Arcachon.
« Secouée par sa mise en garde, assommée par le joint qu'elle venait de finir, Léa se voyait sombrer. Elle ne savait plus quoi penser. Une partie d'elle-même lui indiquait de fuir cet homme sombre et capricieux, pendant que l'autre la sommait d'agir sous ses ordres. D'une manière assez mystérieuse, il la captivait. Il s'agissait d'une attirance à la fois physique et psychique, malsaine et incontrôlable, dont elle n'avait pas encore tout à fait conscience. À ce stade, elle était rassurée d'être guidée par un homme aussi riche et puissant. Néanmoins, elle appréhendait le moment où elle n'aurait plus le choix. » Dans le milieu secret du négoce de grands vins à Bordeaux, Léa entame une descente aux enfers. Fragilisée par la mort de son père, déstabilisée par les relations complexes avec sa mère, elle devient perméable aux manipulations et sombre progressivement dans toutes sortes d'excès. Le deuil, l'engagement, le désir, l'aliénation... À la limite de la folie, comment trouver la volonté de s'en sortir ? L'instinct de survie suffira-t-il, ou devra-t-elle s'abîmer encore un peu plus ? À travers les étapes de sa résilience, l'héroïne nous embarque dans la quête d'elle-même.
Si votre conjointe vous quitte spontanément et qu'elle s'enfuit dans le métro, tenterez-vous de la poursuivre dans la rame suivante ?
Et si celle-ci vous ramène quinze ans plus tôt, en 1998 par exemple, essaierez-vous de comprendre vos erreurs pour retrouver l'être aimé ?
Revivrez-vous votre passé afin de changer le cours de votre vie ?
Après une rupture sentimentale, Claire et Damien se retrouveront mystérieusement projetés sur deux époques, que sépare un changement de millénaire. Chercheront-ils à renouer des liens ? Tout leur est différent : leur vie commune, la monnaie, les moyens de communication.
Les enquêtes menées par le couple vous emporteront, dans la ville de Lyon, entre rêve et réalité, dans un méli-métro de rebondissements.
Tout commence lorsque le général de Gaulle est enlevé lors des événements de 1968. S'ensuivront alors des années marquées par la noirceur humaine.
La période Pompidou perturbée par l'affaire Markovic ; une révolution iranienne marquée par les assassinats des anciens dignitaires du Chah et d'Action directe ; les vols du 11 septembre 2001 à New York ; la trahison de Saddam Hussein par une admiratrice éconduite ; l'élimination de terroristes par des volontaires anonymes ; les tentatives d'assassinat contre les présidents russe et américain ; le risque de cataclysme par l'attaque d'un porte-avions nucléaire de l'US Navy...
Tous ces événements tragiques et meurtriers, passés par le filtre romanesque de l'auteur, sont l'occasion de mille et un rebondissements qui nous questionnent et nous entraînent à travers le monde !
Né à Nice en 1940, Jean-Claude Ceccarelli passe une enfance et une adolescence heureuses. À 21 ans, il découvre Paris, décide d'y faire sa vie et de ne plus quitter cette ville qui l'envoûte et le fascine. Il nous livre un récit « ressuscité » dont les 10 premières pages ont sommeillé durant 35 ans dans un placard.
Je propose de considérer ce livre comme un roman historique mettant en scène une razzia d'esclaves, ses préparatifs, son déroulement et ses suites. Le choc des cultures des pays de France en Europe et Ashanti en Afrique s'accompagne d'une galerie de personnages typiques, rois, crapules ou gentihommes. L'attraction se déroule sur terre et sur mer, les combats sont terribles, les personnages odieux ou attachants ...
Au-dela d'un roman d'action qui peut satisfaire les amateurs de ce genre, se découvre en toile de fond l'esclavage, la traite des noirs, la violence et la marchandisation d'êtres humains. À tout lecteur adolescent ou adulte se posera inévitablement la question de cette traite négrière, ses justifications, ses ressorts et ses buts ...
À rapprocher des trafics immémoriaux, de tous ordres, sur tous les continents, de toutes époques, qui ont fait qu'un humain asservissait un autre être humain, le privant de liberté, en prenant possession de son existence, lui otant toute possibilité de se libérer de cette chaîne abominable.
Il a environ 30 ans, une jeune fille antillaise m'a posée une question à laquelle je n'ai pu répondre mais cette question a bouleversée ma vie.« Comment quelqu'un peut-il vendre son frère ? » Je commençais alors une longue réflexion sur ce problème. Une partie de la réponse est dans ces livres (le livre 2 est en préparation). Je voudrais aller au-delà, évoquer le pardon et la repentance liés aux trafics, pouvoir rassembler les noirs africains et américains, ceux-là même dont les racines sont en Afrique, en une acceptation et une estime mutuelle.
J'invite donc tous les enfant d'Afrique déportés à venir chercher leur part d'héritage, car l'Afrique est un continent riche, au sous sol contenant d'infinies richesses. Richesses qui profitent aujourd'hui à tous les aventuriers du monde, trusts et gouvernants, sauf à ses enfants. Donc : « Venez chercher votre héritage ! » Elembo "Roger" MOMBALI est né en 1960 à Kinshasa, capitale de la RDC, République Démocratique du Congo. Étudiant engagé contre les agissement du président-dictateur Mobutu, il vient continuer ses études en France en 1981. Observateur très attentif des évènements politiques qui secouent son pays, Elembo milite au sein de mouvements qui ont pour objet le retour à une véritable démocratie au Congo RDC.
Tel un chevalier des temps modernes, Petit Jo affronte les éléments déchaînés et les incertitudes de la vie. À la recherche de thé pour sa grand-mère, ce voyage le conduira au Japon, mais surtout en lui-même où il découvrira une grande confiance en lui et en l'avenir.
Petit Jo n'a peur de rien. Il fait face à tous les dangers, aux monstres réels ou imaginaires qu'il va croiser. Créatif et joyeux, il suit sa route vaillamment vers le but qu'il s'est fixé.
Invitation poétique à l'évasion, Petit Jo navigue au gré des vagues vers l'aventure, illustrée avec autant d'originalité que de soin. Un voyage au Pays du Soleil Levant plein de tendresse et de surprises.
Professeur d'arts martiaux depuis 1971, Pierre Lapébie s'est formé auprès de maîtres japonais et chinois en Europe et aux États-Unis. Il est titulaire d'une maîtrise de psychologie et a déjà publié Apprendre le Tai-chi-chuan aux éditions Ambre, ainsi que plusieurs contes pour enfants et adultes.
Dans le monde sulfureux des Julio-Claudiens au Ier?siècle de notre ère, Tullius conte à travers des missives à un ami d'enfance, sa vie de chevalier mondain, ses rencontres, de Poppée à Sénèque, son rôle à la fois discret et terrible dans des affaires politiques.
Un pamphlet anti-woke et cancel culture.
Loin de toute moraline, Tullius soulève la question : «?Quelles âmes construisent une civilisation ??», au moment où l'on s'interroge sur la nôtre.