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Nos Breedle se déclinent sous différentes formes, entre les plus anciennes, souvent façonnées à la main, à l'entonnoir ou à la douille, mais aussi coupées, moulées dans des moules à empreintes, et celles, plus modernes, de toutes sortes de petits gâteaux fourrés, gfìllti Breedle, ou découpés à
l'emporte-pièce, Üssgstocheni. Dans cette catégorie se distinguent, de nos jours, celles, plus
récentes, comme les papillons, les petits lapins, les petits chats, et les traditionnelles, comme les coeurs, les étoiles, les petits sapins, les petits sabots, de nos Wihnàchtbreedle, nos petits gâteaux de Noël.
Nous découvrons régulièrement de nouvelles sortes de Breedle. Et nous aimons échanger de
nouvelles recettes, qui montrent que le mot Breedle, d'origine si modeste, est devenu le nom d'une catégorie de petits gâteaux à la fois traditionnelle et très ouverte à la modernité du savoir-faire dans le monde de la pâtisserie.
23 petits gateaux sont présentés avec leurs recettes.
Du même auteur chez le même éditeur : Ces mots que nous aimons -
Plus tard... trop tard ? tout arrive à son heure
Hugues Haemmerlé
- Do Bentzinger
- 9 Février 2023
- 9782849607565
Il arrive qu'au détour d'un rêve, l'être aimé qui vous a quitté vous promette de revenir dans votre vie «Plus tard ». Ne désespérez pas. Cela ne veut pas dire jamais. Cela ne veut pas dire non plus ici-bas.
Il se peut que vous ayez la chance d'être à ce rendez-vous dans la réalité vécue et que le « Trop tard » aura trouvé son terme de votre vivant.
Hormis le fait que rêve et réalité se seront croisés, ce qui est banal au quotidien, dans cet intermède amoureux il confortera cette vérité éternelle : « Tout arrive à son heure ! » Si ce petit ouvrage peut mieux ancrer le lecteur dans son espace-temps, cette quatrième dimension qui lui est propre, l'écrire n'aura pas été vain. -
Beauté éphémère / Donnée à l'instant / Sans autre but / Que son exister, / Sans autre témoin / Que lui-même / Ou le regard parfois / D'un quidam, / Que le spectacle fait ciller, / Et son être-là trembler / Sous le toucher de l'aube, / Mousse sur l'humus, / Lichens sur le rocher, / Narine sous le vent.
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Raymond Combescure, originaire des Landes, appartient à cette génération « maudite », celle des poilus, qui a connu la Grande Guerre. Il rencontre l'amour de sa vie, Anne Maury, en mai 1914, mais, comme tous ses jeunes compatriotes, il doit partir au front le 1er août et laisser derrière lui sa famille, ses amis et sa bien-aimée. Entre eux va s'installer une correspondance amoureuse pendant près de cinq ans.
Sur le front, Raymond exerce les fonctions de brancardier, infirmier, secrétaire, gestionnaire... Il subit les affres du conflit, de la guerre de mouvement à l'hécatombe de Verdun, du Chemin des Dames à la Somme, en passant par l'Alsace libérée (Colmar, Strasbourg).
Ce livre s'articule autour des nombreux thèmes évoqués dans les lettres: la guerre, les relations de couple, la santé, les pénuries, les cadeaux, la correspondance, la camaraderie entre poilus, et tant d'autres... C'est ainsi que l'auteur, leur petit-fils, a choisi d'évoquer la vie qu'ils ont respectivement connue pendant cette dramatique période.
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La saison infinie : unité et pluralité de ce nouveau recueil qui souhaite inviter le lecteur à parcourir, avec toujours plus de liberté, sa propre saison d'enfance, de semailles et de moissons, sans limites.
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Claus et le serpent : voyage de Benjamin en judaïté
Michel Guerrier
- Do Bentzinger
- 16 Septembre 2021
- 9782849607442
L'auteur : Michel Guerrier se décrit par quelques affinités et quelques détestations : ° Habite à Sarreguemines ° Est en guerre quotidienne contre les cendres blanchâtres qui montent de la très passante rue Clémenceau ; mais essaye de vivre pacifiquement avec les Africains du deuxième étage et le Pakistanais du rez-de-chaussée, victimes comme lui de ce blanchiment forcé. ° Aime les expressions alsaciennes souvent rudes et grossières parce que pleines de sève. Elles lui rappellent ses deux séjours en Russie dont la langue a des consonances dialectales voisines de notre parler régional. ° Soigne un jardin de 30m² avec des plantes qui ont su garder parfum et piquant. Déteste les fleurs en papier lorsqu'elles prétendent décorer les autels d'église
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Nous savons que nos familles fourmillent de faits aussi familiers que secrets. Les souvenirs peuvent dès lors apprivoiser la mort et changer le rêve en réalité, surtout si des objets transmis se prêtent à la cristallisation de l'impalpable en redonnant chair aux vestiges, lumière sûre aux vieilles gravures et voix aux visages disparus.
Une épicerie rurale de Haute-Alsace est ainsi devenue pour Martine Hiebel, pour ses frères et cousins-cousines, le creuset des sensations comme des projets. Fermée depuis longtemps, la ferme ancestrale a bien voulu rouvrir son coeur montagnard pour épanouir les humbles trésors qui avaient failli s'évanouir : car les richesses restent à découvrir par les partages futurs, et les lettres à lire par ceux qui les envoient agir plus loin.
Il a fallu que Joseph-Pierre Hoffer, un jeune homme incontrôlable autant qu'insaisissable, mette au jour des merveilles au village fictif de Lichtenbach pour que s'éclaire une obscure figure trop tôt éteinte : si un livre millénaire illustre ces pages, c'est que son épopée parcourt une modeste saga familiale et sous-tend une quête passionnée. Laissons donc les arrière-grands-mères en douceur nous tirer... en avant : mieux que des horloges qu'il faut mécaniquement remonter, par la simple poésie de la tendresse elles nous font monter vers d'éternelles étincelles, et passer à la beauté de la bonté.
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Le docteur Kahn décrit toute l'atmosphère du quotidien d'un toubib six mois avant la date fatale du «jour de la retraite».
L'action se situe entre le Cotentin, les îles anglo-normandes et l'Alsace.
Tout y passe, son exercice d'ostéopathe, de médecin du sport, de médecin acupuncteur, sa philosophie de la vie, ses activités sportives, son «art personnel» de vivre.
Le dernier chapitre est surprenant.
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Le poète Angelo Amatulli avec son nouveau recueil « Bonne étoile, petit ! » nous offre, sous forme de haïkus, des textes vivants et brefs qui retiennent l'attention et entraînent à voyager la nature, l'amour, des pensées qui sont propices à la réflexion, la méditation. « Tableaux plein de nuances, de couleurs, de paroles touchées de douceur », ainsi que le souligne dans ses notes de lecture Jacqueline Linder, hier enseignante. Elle souligne également que « l'auteur délivre un vécu d'une grande richesse intérieure ».
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Né en 1394 et mort en 1465, Charles dOrléans fut prince, poète et prisonnier de guerre. Après vingt-cinq ans de captivité en Angleterre, où il compose essentiellement des ballades, il sinstalle dans son château de Blois. Il anime alors une cour poétique et sadonne à lécriture de rondeaux. Les Poèmes dOrléans proposent un florilège de ces derniers. Les contraintes du rondeau sont fortes, si bien quun auteur qui le pratique tombe facilement dans le formalisme. Mais le génie de Charles dOrléans a su louvrager pour y sertir linstant. On y sent battre un coeur et sourdre une profonde mélancolie ; on y croise un sourire à la fois tendre et piquant face aux choses du monde. Sa poésie, dont ce paradoxe fait la beauté, perd de son incandescence dans les traductions scrupuleuses quen font les savants. Aussi Tristan Colovray a-t-il pris le parti, quitte à lui être infidèle, de la récrire en amoureux.
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Hommes, femmes, enfants, situations étonnantes, questions autour du livre? Vous aussi, comme ces lecteurs divers, vous avez entre les mains Petites Nouvelles des éditeurs ordinaires et extraordinaires,
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Laetitia n'a qu'une passion ; les loups.
Elle a quitté la France et le confort de la ville pour vivre dans un village perdu dans la forêt russe. Suivre les traces des loups dans la neige, observer leur comportement, mais aussi aller chercher l'eau à la rivière ; voilà sa vie au jour le jour dans la taïga. Cette aventure est l'histoire vraie de Laetitia Becker, jeune scientifique alsacienne qui a tout quitté pour étudier le comportement de ces animaux extraordinaires mais encore chassés en Russie, et pour leur rendre la liberté...
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Mimosa est une chatonne aux yeux d'or, gaie, espiègle, et singulièrement attachante.
A peine sevrée, elle se voit pourtant contrainte de quitter la maison qui l'a vue naître. Toute de courage et de volonté, elle entreprend alors un voyage parsemé de rencontres émouvantes qui l'entraînera sur les sentiers d'une forêt profonde ; là où le merveilleux côtoie les dangers les plus insolites et les plus terrifiants. Par la magie de son regard, cette envoûtante petite persane noire exerce une véritable fascination sur tous ceux qui l'approchent ; mais ses pouvoirs ont leurs limites et l'adversité mettra sa résistance à rude épreuve.
Mimosa parviendra-t-elle à réaliser son rêve le plus cher ? La méchanceté, l'ignorance et les rigueurs de l'hiver l'emporteront-elles sur les trésors de l'affection, de la connaissance et de la beauté ? Vous le découvrirez en lisant cette alerte fantaisie qui séduira toutes les générations.
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L'année 1870 fut celle des grands bouleversements. C'est cette partie de l'histoire de France que l'auteur a voulu faire revivre à travers le cheminement de deux personnages que tout sépare et que les événements vont réunir.
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Sarah fille de pasteur sans histoire disparaît un soir d'automne 2003 au coeur de la campagne alsacienne. La découverte de son meurtrier au passé chargé va faire basculer la vie de sa famille. Quand l'insoutenable fait vaciller la raison et l'amour. Comment peux réagir un pasteur portant la foi au coeur de sa vie ?
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Martine Hiebel présente à travers une tradu-fiction un personnage aussi proche que lointain, mais toujours vivant. Car, si son destin s'est profondément gravé dans l'histoire d'un très ancien village alsacien arrosé par une rivière aurifère et de ses environs, sa pensée a fait sourdement lever la poussée démocratique jusqu'à l'époque dite moderne.
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Un immeuble, un microcosme. Chacun de ses habitants a son histoire, gaie, triste, pathétique, dramatique, secrète, c'est selon. Certains se contentent de la vivre, d'autres de la subir, d'autres encore de l'écrire. A commencer par la concierge au grand coeur, la mémoire de l'immeuble, qui tient un Journal. Elle s'est particulièrement attachée à plusieurs d'entre eux. D'abord Anne et Erwan, deux grands blessés de la vie, puis Hélène, la dernière venue, si jolie, devenue paraplégique après un accident de voiture.
A vingt ans. C'est-y pas malheureux, comme elle dit. Babou, sa grand-mère très chérie, et sa fidèle Nounou Maria prennent soin d'elle, l'entourent, l'écoutent, lui insufflent le courage d'accepter ce qui est. Ecrivain elle-même, Babou essaiera de lui transmettre le goût de l'écriture. Elle sait que sa petite-fille a besoin d'autre chose que de compassion. "Qui a dit qu'un handicap détruisait la potentialité d'une personne ? Tu dois trouver en toi d'autres chemins.
L'inertie est la véritable ennemie. L'immobilité contrainte il faut bien l'accepter, mais l'immobilisme non ! Je ne te laisserai pas faire ! Si tu ne peux plus marcher, deviens Libellule, ouvre tes ailes et vole !" lui dit-elle un jour de grand découragement. Electrochoc. Peu à peu, Hélène retrouvera le goût de vivre. Et plus encore. Même si elle se montre parfois cruelle, la vie est toujours la plus forte.
"Finalement, il n'y a que de l'amour et du bonheur dans ces pages !" écrit en conclusion de son Journal la concierge de l'immeuble. C'est un livre qui fait du bien. Parole de concierge.
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Ce roman retrace l'itinéraire d'un jeune artiste, depuis les pulsions créatrices et les rêves d'adolescent u lycée, les difficultés et les déceptions de l'école d'art, les ruptures familiales et sentimentales... Mais le roman affecte la forme d'un catalogue d'exposition : à chaque oeuvre correspond un épisode de vie. Ainsi la narration, non chronologique, se développe par à-coups. La présence même du catalogue suggère le développement et l'aboutissement de la trajectoire artistique.
C'est aussi l'occasion de réflexions, lyriques ou sarcastiques, sur l'art et les artistes !
Le roman est très situé dans la région Mulhousienne et dans une période identifiable...
Ce roman prend la forme d'un catalogue d'exposition : à chaque oeuvre correspond un épisode de la vie et de l'itinéraire d'un jeune artiste, depuis les pulsions créatrices et les rêves d'adolescent au lycée, les difficultés et les déceptions de l'école d'art, les ruptures familiales et sentimentales..., jusqu'à la grande oeuvre, absente de l'expo.
Chronologie non respectée, apparent désordre de la narration...mais la présence même du catalogue, qui évoque des oeuvres d'une grande diversité, suggère le développement et l'aboutissement de la trajectoire artistique. C'est aussi l'occasion de réflexions, lyriques ou sarcastiques, sur l'art et les artistes!
Le roman est très situé, dans la région Mulhousienne et dans une période que de nombreux lecteurs identifieront..
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J'ai écrit ce recueil en pensant au soleil du mois de mai qui ruisselle sur les murs de pierre, illuminant les maisons d'une petite ville du sud de l'Italie, qui s'appelle Conversano.
C'est là que Cristina et Francesco, ma mère et mon père se sont rencontrés.
Ensemble ils m'ont appris les choses simples de la vie, la chance d'avoir un toit, un lit, de quoi se nourrir et partager.
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Bals, concerts, solos, récital, stage, festivals,...
Errances, tourments, joies, inattendus, création, et surtout, rencontres.
Tantôt drôles, tantôt émouvantes, tantôt mystérieuses, huit nouvelles explorent ce que la musique et la danse font naître, grandir, palpiter en nous. Si certaines sont presque intemporelles, d'autres sont traversées par l'actualité la plus brûlante...
Une adolescente rêveuse, un danseur de hip-hop, un réfugié, une cantatrice, un musicien blessé, une virtuose, un rescapé du terrorisme... Errances, tourments, joies, inattendus, création, accompagnement, et surtout, rencontres :Tantôt drôles, tantôt émouvantes, tantôt mystérieuses, huit nouvelles mettent en scène bals, concerts, solos, récital, stage, festivals, jazz, musique classique ou musique du monde, hip-hop ou danse traditionnelle ... et elles explorent ce que la musique et la danse font naître, grandir, palpiter en nous.
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D'abord, le gosse du Polygone existe-t-il ? Ne crois pas ce que tu entends. Le gosse du Polygone existe à l'infini. C'est une vie qui ne vieillit pas, une envie qui ne faiblit pas. Il est multiple, ce gosse, il énerve, fait peur parfois, étonne et n'aime pas l'école. Le gosse du Polygone, on tombe dessus au détour d'une rue. Il nous regarde, craintif ou agressif, jamais indifférent. Il est ici et là. Aux deux bouts d'un territoire dont il surveille les entrées et les sorties. Il faut le saluer. Il faut les saluer. Car ils sont souvent courtois malgré quelque timidité. Vouloir en connaître tous les contours est présomptueux. Les survoler est suffisant : ce sont des voyageurs. Voilà de singulières rencontres, semble dire Eric Faure. Enfin, ce monde résonne de musiques, de cris et de détonations. Il résonne de souvenirs et d'angoisses. Le gosse baigne dans un chaos paisible que nul drame ne parvient à étouffer.
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A l'image du puits à balancier qui orne à nouveau la place de la mairie, « repère vivant d'un passé ancestral, dressant son long bras dans le ciel comme une canne à pêche lancée à la recherche du temps passé », Thécla Jaubert-Moog est partie à la glane aux souvenirs d'enfance et de jeunesse, à l'ombre « du clocher altier qui telle une vigie domine le village-vaisseau amarré à ses pieds » : Schleithal archétype du village-rue, le plus long d'Alsace.
Elle en rapporte, par un style vivant et coloré, une riche moisson où dans un fin tissu se mêlent les souvenirs personnels et les traditions restées vives en nos coeurs.
Certes, le spectre de la guerre se profile à l'horizon de sa naissance en 1937, et elle fait d'abord éprouver la tempête qui a si souvent marqué l'histoire de notre région : l'évacuation en Haute-Vienne, la mobilisation de l'oncle Jean « malgré lui », celle du père dans le « Volkssturm », les années d'annexion forcée, vécues dans la peur et les répressions...
Mais c'est surtout un vibrant hommage rendu par l'auteur au monde, qui n'existe plus, celui de ses jeunes années après le 2ème conflit mondial. Son évocation précise mêle prose et poésie, multipliant les points de vue dans une narration truffée d'anecdotes, riche d'images et de sensations : on y entend le vol lourd des hannetons dans la douceur de l'air printanier comme on croit y goûter le « Zisser », le vin nouveau qui coule du pressoir... Par la puissance de résurrection qui transforme la mémoire en de frémissants mémoires, Thécla Jaubert-Moog redonne vie à toute une culture fondée sur le travail et sur la religion qui continue de palpiter en secret. Ceux qu'a nourris cette culture auront le sentiment de toucher dans ce livre, émus, leurs propres souvenirs ; à tous il fera connaître, ou reconnaître avec plus d'acuité, les racines où l'on puise la vie.
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Prenez un shaker, mettez y beaucoup de Frédéric Dard, un peu de Francis Blanche, un zeste de Pierre Dac, un reliquat de Pierre Desproges, vous secouez le tout énergiquement et vous obtenez ce cocktail que vous allez déguster page après page.
C'est ce genre de rafraîchissement dont on a besoin pour faire oublier le monde réel dans lequel on évolue malgré nous. Les médias nous distillent à longueur de journée des informations à faire pleurer, ajoutez à cela une météo défavorable, quoi de meilleur qu'un bon divertissement, en se gargarisant sur des spectacles de bons humoristes, d'écouter leurs sketches, de visionner des films comiques, ou bien encore de lire des textes qui prêtent à sourire, voire à rire.
Il faut bien dire que depuis la disparition du commissaire San-Antonio du 36 Quai des Orfèvres, la gaudriole a disparu.
Pourtant, la gauloiserie fait partie intégrante de notre culture.
Faut rigoler, faut rigoler, nous affirmaient les gaulois par l'intermédiaire de l'irremplaçable et inénarrable Henri Salvador.
Alors, dépêchons-nous avant que le ciel nous tombe sur la tête...
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L'histoire du gros Marcel, c'est la rencontre entre Uschène le garde-chasse et un sanglier, un Keiler de taille exceptionnelle qui a toujours échappé aux chasseurs. C'est durant une balade digestive en compagnie de son ami Louis, qu'Uschène découvre sur un chemin boueux, les traces laissées par le gros sanglier de retour sur la chasse. Un coup de téléphone passé au bureau de poste tenu par mademoiselle Georgette Schweisalles à Edmond Maréchal, l'adjudicataire, marque le début de cette aventure. Uschène est chargé de préparer la battue alors que monsieur Maréchal dresse la liste des invités et amis dont le Général Chabert, le sous-Préfet Leglanchon, le curé Foessler et l'instituteur Schmoll. Hélas, malheur après malheur, la journée de chasse débute fort mal car le gros Marcel blessé par un tireur infortuné saura se défiler. Mais comme toujours, la chance finit par changer de camp et le gros Marcel le paiera de sa vie et réservera à tous une belle surprise. La journée de chasse s'achèvera chez Marickel, propriétaire du restaurant De la Marne au Rhin où se retrouvent habituellement toute la bande. La soirée prendra l'allure d'une fête digne d'un mariage voire d'un enterrement. Le repas est royal et le vin coule à flot. On chante une grande partie de la nuit et jusqu'au petit matin, où le gros Marcel réservera une belle surprise à toute la bande.