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Casimiro
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Le 22 août 1878, à l'occasion de l'Exposition Universelle de Paris, Sarah Bernhardt (1844-1923) monte sur un ballon et s'envole dans les nuages, en compagnie de son amant, le peintre Georges Clairin, et du pilote Louis Godard, ainsi que d'un panier à picnic, ou encore d'une pauvre chaise... Dès le lendemain, la comédienne écrira le récit de cette extraordinaire aventure aérienne.
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«Ceci est au-dessus de tout ! Les rivages, la baie, le golfe, le Vésuve, la ville, les faubourgs, les châteaux, les promenades !... C'est la contrée la plus extraordinaire du monde La position de la ville, la douceur du climat, ne peuvent être assez célébrées.
Naples est un paradis. Naples est partout beau et magnifique.» À l'occasion de l'exposition Naples à Paris (juin 2023 - janvier 2024) au Musée du Louvre, les impressions que la grande métropole de la Méditerranée évoquent au premier poète de la Modernité. -
«L'admirable cathédrale, restaurée, rapiécée, éreintée, est vraiment une grande chose morte, un gigantesque sépulcre. Elle se dresse encore en beauté sur le fleuve avec ses contreforts et ses béquilles. Tel fragment de ses assises émeut toujours par sa force : on croirait ces pierres issues du sol, et c'est en nous le même sentiment de vénération que devant un arbre de cinq cents ans au milieu d'une clairière. Telle sculpture aussi enivre par sa beauté délicate, le sens de la vie qu'elle manifeste.» L'écrivain, journaliste et historien de l'art Gustave Geffroy (1855-1926) propose ici une promedade de deux heures sur les deux îles au coeur de Paris.
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«Quelles rues on traverse ! Hautes, étroites, sales, bordées à tous les étages de balcons qui surplombent, une fourmilière de petites boutiques, d'échoppes en plein vent, d'hommes et de femmes qui achètent, vendent, bavardent, gesticulent, se coudoient.
Les napolitains sont brillants, évaporés, enthousiastes, sans équilibre, livrés à la nature. À l'état ordinaire, ils sont aimables et même doux ; mais dans les périls ou la colère, en temps de révolution ou de fanatisme, ils vont jusqu'au bout de la fureur ou de la folie.» À l'occasion de l'exposition Naples à Paris (juin 2023 - janvier 2024) au Musée du Louvre, les impressions et réflexions que la grande ville de Parthénope suscitent à Taine lors de son voyage en Italie de 1864 -
Pour Flaubert, l'Italie est un musée, un conservatoire antique où l'on va retrouver les souvenirs d'une histoire prestigieuse, celle de l'Empire romain.
L'Italie, berceau de la civilisation, mère des arts, c'est là l'image que, comme la plupart des voyageur de son temps, a retenue Flaubert.
À l'occasion du centenaire de la naissance de Gustave Flaubert (1821-1880), casimiro propose les lettres et notes de voyages que l'écrivain a écrit lors de son passage en 1851 à Naples, la grande capitale du Sud de l'Europe.
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«À Grenade, les heures sont plus longues et plus savoureuses que dans n'importe quelle autre ville d'Espagne. Elle a des crépuscules complexes de lumières toujours neuves qui semblent ne jamais finir. Elle est immensité.
Grenade est le miroir d'une Andalousie passionnée et silencieuse.
Grenade, ville de rêveries, sera toujours plus esthétique que philosophique, plus lyrique que dramatique.»
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"Bruxelles est une ville d'un aspect plutôt anglais que français dans ses parties
modernes, plutôt espagnol que flamand dans ses parties anciennes...
A force de ramper le long de la Magdalena-Straas, nous parvînmes à une grande belle place carrée, qui se nomme la place Royale, et sur laquelle on voit une église avec un fronton où il y a au milieu d'une gloire, un oeil sculpté qui a l'air d'un modèle d'oeil gigantesque proposé à tous les bambins de la ville. Le palais du roi est tout près de là."
En 1836, Théophile Gautier, en compagnie de son ami Gérard de Nerval (qu'il nomme
dans ces chroniques "Fritz"), visita la Belgique entre juillet et août. -
"On a tout dit de la cathédrale de Séville, mais l'effet qu'elle produit est de
ceux qu'on ne peut prévoir, quand même on s'y serait de longue date préparé.
Rien n'existe à côté d'un pareil monument où tous les genres d'architecture, du
gothique le plus sévère au rococo le plus absurde, s'unissent, s'engendrent et
se succèdent dans un épanouissement qui tient à la fois du prodige et du défi."