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L'Herbe Qui Tremble
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André Doms, poète amarré à Namur, a voyagé en Europe pendant des décennies, à la rencontre des populations, des amis, des villes des écrivains, des artistes. Ibériques fait partie d'une trilogie réunie sous le nom d'Écrits du voyage. Le ton de ces récits rappelle celui des écrivains d'entre les deux grandes guerres du xxème siècle, curieux des cultures européennes, intransigeants avec les libertés.
André Doms présente ainsi les trois volumes de ses « Écrits du voyage » :
« Ce n'est pas un guide. Ni un carnet de voyages. Malgré les images d'années disséminées sur les péninsules de la Méditerranée, resurgissant en sources et se réfléchissant dans l'existence d'un voyageur en vérité. Ce n'est pas une biographie, bien qu'on découvre incidences et coïncidences, séjours et libres détours qui définissent ce voyageur aux antipodes du touriste. Ni plus un essai car s'il tient au cheminement intérieur, le voyage reste péripétie du corps : phases d'un monde qui se déroule tant en nous qu'alentour, selon l'indissoluble train de vie. Irréductible, inépuisable. Enchevêtré. »
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André Doms, poète amarré à Namur, a voyagé en Europe pendant des décennies, à la rencontre des populations, des amis, des villes des écrivains, des artistes. Ibériques fait partie d'une trilogie réunie sous le nom d'Écrits du voyage. Le ton de ces récits rappelle celui des écrivains d'entre les deux grandes guerres du xxème siècle, curieux des cultures européennes, intransigeants avec les libertés.
André Doms présente ainsi les trois volumes de ses « Écrits du voyage » :
« Ce n'est pas un guide. Ni un carnet de voyages. Malgré les images d'années disséminées sur les péninsules de la Méditerranée, resurgissant en sources et se réfléchissant dans l'existence d'un voyageur en vérité. Ce n'est pas une biographie, bien qu'on découvre incidences et coïncidences, séjours et libres détours qui définissent ce voyageur aux antipodes du touriste. Ni plus un essai car s'il tient au cheminement intérieur, le voyage reste péripétie du corps : phases d'un monde qui se déroule tant en nous qu'alentour, selon l'indissoluble train de vie. Irréductible, inépuisable. Enchevêtré. »
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André Doms, poète natif de Namur, a voyagé en Europe pendant des décennies, à la rencontre des populations, des amis, des villes des écrivains, des artistes. Ibériques fait partie d'une trilogie réunie sous le nom d'Écrits du voyage. Le ton de ces récits rappelle celui des écrivains d'entre les deux grandes guerres du xxème siècle, curieux des cultures européennes, intransigeants avec les libertés.
André Doms présente ainsi les trois volumes de ses « Écrits du voyage » :
« Ce n'est pas un guide. Ni un carnet de voyages. Malgré les images d'années disséminées sur les péninsules de la Méditerranée, resurgissant en sources et se réfléchissant dans l'existence d'un voyageur en vérité. Ce n'est pas une biographie, bien qu'on découvre incidences et coïncidences, séjours et libres détours qui définissent ce voyageur aux antipodes du touriste. Ni plus un essai car s'il tient au cheminement intérieur, le voyage reste péripétie du corps : phases d'un monde qui se déroule tant en nous qu'alentour, selon l'indissoluble train de vie. Irréductible, inépuisable. Enchevêtré. »
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Barque à Rome est un recueil de notes écrites en voyage, en Algérie en 1983 et à Rome lors de deux résidences en 1999 et 2002. Les notes algériennes sont une première édition en France. J.M.G. Le Clézio, les lisant, parle de « poèmes, images de paix ».
Les notes des résidences à Rome sont inédites. Rédigées au fil des journées romaines, promenades, visites de la ville, lectures, rencontres, poèmes aux amis, poèmes à l'aimée, elles gardent le ton poétique de la pensée de Philippe Mathy. Ces trois voyages invitent le lecteur à méditer non sur le bonheur, mais sur ce qui peut rendre heureux quelquefois.
« Pour peu que nous soyons réceptifs, tout ici-bas nous interpelle, requiert l'attention de nos sens. Mais plus nous sentons, plus nous tentons de vivre notre appartenance, et plus s'insinue en nous l'impression d'être exilés, comme si le monde lui-même nous confiait qu'il n'est pas de ce monde. »