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La Decouvrance
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En 1885, Pierre Loti débarque une deuxième fois au Japon du vaisseau la Triomphante. Ce voyage est le prétexte à écrire par l'intermédiaire de courriers à ses connaissances, dont Edmond Goncourt de courts récits de voyage, genre qu'il affectionne particulièrement.
Témoin de scènes dont les Japonais d'aujourd'hui s'inspirent parfois pour leurs romans, il décrit avec finesse et humour la vie des habitants du pays du Soleil levant de la fin du XIXe siècle. C'est un Japon rural aussi bien que citadin, en pleine mutation à l'aube de sa modernisation et de son ouverture, car jusque-là ce pays était fermé aux étrangers.
C'est un guide de voyage pour découvrir le pays du Soleil levant. Kyoto, Nara, Kamakura, Tokyo, Nikko... des destinations de prédilection pour les touristes modernes, qu'ils soient autochtones ou étrangers.
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Récit du voyage autour du monde depuis le départ de la boudeuse de nantes, le passage du détroit de magellan, la traversée de l'océan pacifique et le retour en france à saint-malo.
Bougainville décrit avec force détails les manoeuvres, les rencontres maritimes (espagnols, anglais, hollandais), mais aussi avec les hommes, la faune et la flore. des territoires comme les malouines, la patagonie, le paraguay, le détroit de magellan, tahiti, la nouvelle bretagne, l'archipel des moluques, java, l'ile de france, le cap de bonne-espérance.
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Voyages chez les différentes nations sauvages de l'Amérique septentrionale
John Long, Jean-baptiste Billecocq
- La Decouvrance
- 1 Mai 2015
- 9782842658199
Ce livre renferme des détails curieux sur les moeurs, usages, cérémonies religieuses, le système militaire, etc. des Cahnuagas, des Indiens des Cinq et Six Nations, Mohawks, Connecedagas, Iroquois, etc., des Indiens Chippeways, et autres Sauvages de diverses tribus . avec un état exact des postes situés sur le fleuve Saint-Laurent, le lac Ontario, etc.
« Engagé, pour les besoins de sa profession, à vivre longtemps au milieu des Indiens ; doué de cet esprit d'observation nécessaire à celui qui visite des climats habités par les hommes de la nature, John Long ne s'est pas borné à des détails de commerce, quoique fort intéressants par eux-mêmes : son journal est rempli d'instructions utiles sur les moeurs, usages, opinions religieuses et politiques, les cérémonies, les jeux de diverses tribus de ces peuples parmi lesquelles il a vécu. On y lira, non sans beaucoup d'intérêt, l'histoire simple de ces hommes qui doivent à l'orgueil des nations de l'ancien continent, plus peut-être qu'à leur vie grossière, le nom de Sauvages, et dont la plupart démentent souvent par des actions nobles et touchantes, cette injurieuse dénomination ».
Jean-Baptiste BILLECOCQ
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Cent un jours de mer, de Gibraltar à New York, seul sur un petit cotre de onze mètres. Alain Gerbault n'était pas le premier, mais son exploit, en 1923, eut un retentissement considérable. Il emmène sa bibliothèque, récite Coleridge ou Edgar Poe à la barre, et passe le plus clair de son temps à recoudre des voiles en lambeaux. Soif, fièvre, vagues géantes... Sa joie de vivre, sa philosophie annoncent Bernard Moitessier. Tout entier tourné vers un but, cette traversée en solitaire sans escale, il se soucie peu de performance, et prolongerait bien son escapade : Mon navire était beau lorsque venait le jour.
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Désiré Charnay séjourne à Madagascar en 1862 et rapporte ce court récit de voyage publié en 1864. Après un rapide historique, il décrit la vie et les moeurs de la population rencontrée et les paysages de l'île visitée : Tamatave, Sainte-Marie, Nosy Be, cap d'Ambre, etc.
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Tout au long de ce livre, l'auteur évoque, avec son humour habituel so british, le quotidien de la navigation océanique en solitaire, les aléas de la vie à bord, mais aussi le bonheur d'observer la faune océane, la mer, le ciel, les terres entraperçues. De façon poétique et innovante, il décrit, avec un regard de peintre, la texture de la mer, des vagues et de la houle, dans différentes configurations de vent, de tempête, de lumière, allant du calme plat à de monstrueuses déferlantes. Se retrouvant, au milieu de nulle part, entouré de milliers de puffins majeurs en migration, s'émerveillant de la rencontre aussi fortuite qu'improbable avec un albatros à sourcils bruns, il poursuit une réflexion plus philosophique sur l'égarement, la solitude et les sociétés des oiseaux pélagiques. Se sentant pousser des nageoires à force de vivre dans cet univers en mouvement perpétuel, il s'interroge sur le bien-fondé de la décision des animaux qui ont quitté le monde océanique pour rejoindre la terre ferme. Pour sa part, il considère, à l'échelle de l'évolution, que ce sont les animaux marins qui ont eu raison, car la partie pérenne de notre planète est océanique.
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L'Evangile du soleil ; en marge des traversées
Alain Gerbault
- La Decouvrance
- 6 Juillet 2015
- 9782842658564
Ce livre est nécessaire, car je suis obligé de me servir de ma seule réelle influence pour attirer l'attention du public et du gouvernement, pas toujours très bien renseignés sur ce qui se passe dans nos possessions lointaines.
Je ne voudrais pas qu'on y vît une attaque systématique contre la civilisation, la colonisation et la christianisation, qu'il ne faut pas confondre avec l'européanisation dangereuse et néfaste pour les Polynésiens.
Ce ne sont ni les opinions d'un philosophe, ni celles d'un rêveur, mais d'un voyageur qui a vécu et étudié sur place tous ces problèmes. Il me plaît que lorsque ces notes paraîtront, je sois de nouveau reparti seul au péril de la mer, car j'espère qu'on comprendra que je ne recherche ni les dignités ni les honneurs, et que désirant n'être qu'un marin et rien de plus, j'ai pour seule ambition celle de mériter le surnom de Kim, ami de tout le monde.
- Ce livre est un plaidoyer pour le bonheur, le minimalisme de nos besoins et la préservation des civilisations et de la Nature.
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à la découverte de la Louisiane ; le dernier voyage de Cavelier de La Salle en quête du Mississippi (1684-1688)
Henri Joutel
- La Decouvrance
- Preambulation
- 3 Novembre 2016
- 9782842659080
Cavelier de La Salle entreprend donc ce dernier voyage (troisième) en juillet 1684, et, jouant de malchance, va dépasser le delta du Mississippi. Pendant plus de deux années il recherchera inlassablement le fleuve mythique, multipliant les tentatives, affrontant une nature difficile, entretenant avec les tribus indiennes des relations souvent conflictuelles, allant enfin de déboires en échecs jusqu'à son assassinat par une poignée de révoltés en mars 1687. Quelques survivants entameront alors un nouveau périple de seize mois pour atteindre finalement le Québec en juillet 1688. C'est le déroulement de cette incroyable aventure qui est consigné dans le Journal d'Henry Joutel. _ Il s'agit de la première réimpression depuis trois cents ans d'un document rare, précieux témoignage pour lequel nous avons tenu à respecter le texte d'origine, en ne supprimant que certains archaïsmes ou quelques notes ne présentant pas d'intérêt de nos jours, et en lui donnant une ponctuation et un découpage plus faciles à suivre.
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Stanley et les femmes de sa vie
Jacques Marzac
- La Decouvrance
- Preambulation
- 3 Juin 2017
- 9782842659844
Grâce aux archives récemment révélées, mille preuves attestent que l'histoire ne s'est guère montrée équitable à l'égard de celui qui, assurément, reste le plus grand explorateur de l'Afrique. En eff et, à l'exception de sa rencontre avec Livingstone au coeur des ténèbres de l'Afrique, la plupart de ses incroyables réalisations sont largement oubliées. Qui se souvient aujourd'hui, par exemple, qu'au cours d'une seule de ses cinq expéditions, il a résolu l'énigme millénaire des sources du Nil, de celles du Congo - qu'il a descendu sur 2 300 kilomètres jusqu'à son embouchure - et réalisé les premières circumnavigations des lacs Victoria et Tanganyika ainsi que la première traversée du continent d'est en ouest ?
Pourquoi Stanley a-t-il réussi partout où tous les autres, avant lui, avaient échoué, et pourquoi lui en a-t-on tellement voulu au point de l'accuser de tous les maux de la terre ?
Et si, pour cet orphelin de père, rejeté par les siens, toutes ces expéditions n'étaient en réalité qu'une éperdue quête d'amour, à commencer par celui de Liz, sa jeune mère trop tôt livrée à elle-même ? Suivront une petite dizaine d'autres fi gures féminines qui, sous la plume de Jacques Marzac, balisent l'impossible vie - comme l'écrit Tim Jeal - de l'Anglo-américain Henry Stanley, né John Rowlands, au nord du Pays de Galles.
À la lumière des récentes révélations de l'Académicien britannique, étayées par les archives de l'explorateur désormais accessibles au Musée royal de Bruxelles, c'est à une nouvelle lecture de l'oeuvre de Stanley que l'auteur nous invite pour la postérité, une lecture, comme il se doit, plus exigeante que celle de ses contemporains, et sans doute plus équitable.
Durant plus d'un siècle, quelques journalistes et une poignée d'aristocrates londoniens ont fait l'opinion, ressassée par des dynasties de biographes. Aujourd'hui, l'heure est donc venue de s'eff acer devant les archives, devant les Congolais eux-mêmes et bien sûr devant les femmes qui ont fait battre le coeur de ce vaillant orphelin gallois.
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Le voyage épique du Detroit en 1912 ; 6308 milles des Etats-Unis à la Russie en bateau à moteur
Thomas Fleming day
- La Decouvrance
- 15 Novembre 2011
- 9782842657093
Le commodore W. E. Scripps, de la firme Scripps Motor Company, cherchait un skipper pour commander la vedette de trente-cinq pieds à moteur : Detroit pour une traversée de l'Atlantique. C'est Thomas Fleming Day, fort du succès de la transatlantique avec le Sea Bird (1911), qu'il choisit.
Le moteur marin à explosion était une nouveauté en 1912 : ses capacités n'étaient pas démontrées. L'exploit du voyage du Detroit (États-Unis - Russie) a prouvé à un public sceptique que ce nouveau moyen de propulsion était sûr, marin et fiable. Un connaisseur des moteurs nautiques de l'époque comprendra sans peine pourquoi une telle démonstration était impérative. Désormais, de nouveaux horizons s'ouvraient au monde maritime et à la plaisance en particulier.
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Toujours attiré par la mer et la Polynésie, Alain Gerbault quitte les États-Unis en 1924 pour revenir une dernière fois en France en 1929 après avoir navigué en solitaire autour du monde au gré de son humeur.
Quelques escales : Bermudes, Panama, Galápagos, Gambier, Marquises, Tahiti, Fidji, Détroit de Torrès, Arafura, La Réunion, Cap-Vert.
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Et si on partait autour du monde ?
Ils l'ont rêvé sur les bancs de l'amphi. Les proches, les amis les ont traités de fous. Et pourtant !
Partis, il y a quatre ans, sans aucune connaissance de la voile et de la mer avec peu d'argent en poche, Bat, Manu, Will et leur voilier de onze mètres ont parcouru les trois Océans : Atlantique, Pacifique, Indien.
Ils l'ont fait ! Ces jeunes ont bel et bien réussi leur tour du monde à la voile, 33 000 nautiques de bonheur et son lot de galères. C'est une belle aventure au long cours à suivre sans hésitation, car possible à réaliser avec audace et obstination : Quant on veut, on peut.
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À la découverte des îles anglo-normandes dans les pas de Victor Hugo.
Qui a vu l'archipel normand l'aime ; qui l'a habité l'estime.
C'est là un noble petit peuple, grand par l'âme. Il a l'âme de la mer. Ces hommes des îles de la Manche sont une race à part. Ils gardent sur la grande terre on ne sait quelle suprématie ; ils le prennent de haut avec les Anglais, disposés parfois à dédaigner ces trois ou quatre pots de fleurs dans cette pièce d'eau. Jersey et Guernesey répliquent : Nous sommes les Normands, et c'est nous qui avons conquis l'Angleterre. On peut sourire, on peut admirer aussi.
Un jour viendra où Paris mettra ces îles à la mode et fera leur fortune ; elles le méritent. Une prospérité sans cesse croissante les attend le jour où elles seront connues. Victor Hugo L'archipel de la Manche sera intégré en présentation de la deuxième édition du roman Les travailleurs de la mer en 1883.
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La tragédie de l'Essex ; ou le fantasme de Moby Dick
Owen Chase
- La Decouvrance
- 16 Février 2013
- 9782842657475
.Le cétacé tournait autour de l'Essex comme un chien enragé, puis il se dirigea vers lui à nouveau. Owen Chase put le voir battre l'eau en écume, claquer des mâchoires comme s'il était égaré par la rage et la fureur. Moins d'une minute auparavant, il avait cogné sa tête massive contre l'étrave du navire juste en avant des bossoirs, et le bateau avait tremblé comme s'il avait heurté un véritable roc.
L'eau pénétrait dans la cale. Chase s'était rapidement redressé sur ses pieds, mais n'avait pas retrouvé ses facultés mentales. Ni lui ni personne à bord ne pouvait croire qu'une baleine puisse attaquer un bateau.
Quand il vit la première attaque, puis la seconde, Chase n'avait pas idée que le compte-rendu de ces moments inspirerait le jeune écrivain Hermann Melville pour imaginer l'histoire d'un capitaine de baleinier et d'une baleine vicieuse.
Chase et les dix-neuf hommes de l'équipage avaient quitté Nantucket à bord de l'Essex en août 1819 pour un voyage de deux ans et demi dans le Pacifique à la recherche de baleines. Seulement, l'attaque du cachalot les a contraints à dériver sur de frêles embarcations pendant plus de quatre mois et pour survivre ils se sont livrés à des actes de barbarie.
Allumez, installez-vous dans votre fauteuil de cuir bien rembourré, et laissez la plus extraordinaire histoire des annales de la mer vous transporter à une époque lointaine, d'un autre type, une expérience que peu de contemporains peuvent croire. Laissez vagabonder votre imagination. Et ainsi assis n'oubliez pas : cela s'est réellement produit !
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Harry Pidgeon (1869-1954) fut le second navigateur à la voile à réaliser un tour du monde en solitaire. Constructeur de son propre bateau, il fut surtout le premier amateur à faire le tour de la planète et à inaugurer la route des alizés, en naviguant quasi exclusivement au portant sous les tropiques et passant par Panama. Il initia, ainsi, sans l'avoir imaginé un seul instant, un véritable genre de vie, qui depuis quatrevingt- dix ans attire de plus en plus d'adeptes : les nomades vagabonds des mers.
Devenu mythique, ce récit constamment réédité aux États-Unis n'était plus disponible en français depuis bien trop longtemps. Éclairé par les commentaires d'un skipper ayant un peu expérimenté ces routes et ce genre de vie, voici une nouvelle traduction de ce que l'auteur décrit comme «Les jours les plus libres et les plus heureux de ma vie».
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James Cook en Océanie ; voyage en Océanie de 1772 à 1775
James Cook
- La Decouvrance
- 18 Mai 2013
- 9782842657215
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Jakez, issu du terroir nord finistérien d'après-guerre, embarque à dix-neuf ans sur les navires de la royale.
Sur ses pas, au fil de ses années de formation, de l'émerveillement des premières traversées ou des escales riches en découvertes (usa, afrique, réunion...), on suit l'évolution d'une marine nationale de plus en plus orientée vers des actions de protection et de sécurité. ces pages fourmillent d'anecdotes et images parfois très drôles. elles dressent un portrait coloré de la vie quotidienne sur ces navires gris : espaces de vie confinés, organisation quotidienne souvent cocasse, rituels d'équipage issus de traditions centenaires, histoires de bord, chansons de mer, rencontres d'exception.
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En 1911, l'Atlantique n'est pas traversé à la voile comme on le fait couramment aujourd'hui.
L'épopée de Thomas Fleming Day et de son équipage est une aventure totalement exceptionnelle. Les supports météo, la radio, les aides à la navigation, n'existent évidemment pas. Thomas Fleming Day, traité de fou par l'ensemble de la gent marine de son époque, entreprend cette transatlantique pour prouver que la taille n'est pour rien dans les qualités marines et que l'Océan n'est pas un destructeur pervers et implacable. Il n'y a rien de téméraire dans cette aventure. Nous savions ce que nous faisions et avec un bateau de la meilleure conception.
Du 10 juin au 17 juillet 1911, Thomas Fleming Day et ses deux coéquipiers réalisent la première transatlantique avec un petit voilier de plaisance, de Providence (Rhode Island, USA) à Gibraltar (Europe).
À l'occasion de ce centenaire, une traduction française du récit de Thomas Fleming Day est réalisée par Olivier Merbau. Il n'y a pas eu d'édition française jusqu'à ce jour à notre connaissance.
Le Sea Bird a permis l'essor de la plaisance populaire.
Ce fut une révolution : la facilité de construction de ces plans, leur diffusion via The Rudder, l'absence de droits voulue sans doute très consciemment par Thomas Fleming Day qui a dessiné lui-même ce dériveur, en ont fait un petit bateau qui allait être construit partout, par des chantiers et par des amateurs.
Pour la première fois dans l'histoire de la voile, on offrait à celui qui voulait s'en donner la peine, ou à celui qui n'avait que des moyens modestes d'existence, un voilier de plaisance habitable solide, sûr, marin, vivant, plaisant, facile ! On peut affirmer que toutes les caractéristiques qui ont permis l'envol de la voile populaire étaient déjà présentes :
Coque à bouchains vifs facile à construire, dimensions raisonnables, poids maîtrisé, gréement divisé ne demandant que peu d'efforts, habitabilité confortable (pour l'époque !), rusticité et capacités tous terrains. voila qui a ouvert le monde de la mer à une classe moyenne en formation qui avait du temps libre, quelques finances, et un goût pour l'aventure étayé par une littérature maritime contemporaine : Jack London, Conrad, Pierre Loti, Henri de Monfreid, sont alors vivants ! C'était une révolution ! Combien de marins, combien de capitaines, sont partis sur les mers lointaines à bord d'un Sea Bird ? Le succès de la traversée transatlantique de Thomas Fleming Day, le relais puissant du Rudder, le tour du monde de Harry Pidgeon sur une version agrandie du même plan, en ont fait un bateau à la réputation universelle.
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« Juste faire le tour du monde, en famille, avec les enfants ». C'est la réponse candide et assurée de l'adorable Cécile à ma question : « Qu'êtesvous venus chercher à ce cours de voile ? » Les cours succèdent aux cours. Météo. Mécanique. Les croisières aux croisières, d'abord sans puis avec les enfants.
Et puis, c'est le départ sur un catamaran. Tout naturellement. Les habituelles appréhensions des tourdumondistes débutants sont noyées dans cet humour, cette autodérision formidable de l'histoire qu'ils commencent à raconter. Tout n'est pourtant pas toujours rose, sur un voilier. Ici, pas de tempêtes dans le récit, pas de galères. Une succession de bonnes surprises, de bonnes rencontres, de bons mouillages.
Ce n'est pas un guide pratique destiné aux marins et autres fanatiques de voile. Ceux qui espèrent trouver des renseignements utiles, des techniques innovantes, des conseils de sécurité, des tuyaux sur les meilleurs endroits à visiter ou des astuces pour bénéficier d'une bonne météo, ceux-là seront déçus. C'est un témoignage un peu décalé sur un périple dans l'espoir qu'il convaincra les indécis à se lancer dans l'aventure et les curieux à goûter aux parfums de l'exploration moderne.
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Les aventures d'un négrier trafiquant d'or, d'ivoire et d'esclaves
Théodore Canot
- La Decouvrance
- 1 Mai 2008
- 9782842655884
C'est l'histoire véridique de la vie et des aventures du capitaine théodore canot (1806-1860), trafiquant en or, en ivoire et en esclaves sur la côte de guinée, telle qu'il la raconte en 1854.
élevé à florence par une mère italienne, veuve d'un militaire français, il doit son éducation à un capitaine américain et navigue indifféremment sous les pavillons hollandais, anglais, portugais, espagnol, brésilien, colombien. il commande de nombreuses lois des vaisseaux américains et contribue à l'extension de l'esclavage dans les états du sud. il pratique le métier de négociant sur les côtes africaines où l'être humain vaut moins que l'ivoire.
Il se taille une solide situation, mais connaît peu à peu le déclin et finit les dernières années de sa vie par errer et mendier sur le sol des états-unis.
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Cet écrit de 1722 du père jean-baptiste labat (1663-1738) est un témoignage minutieux et malicieux des îles françaises de l'amérique.
L'attrait de ce texte ne vieillit pas et four mille de renseignements " tantôt honorables, tantôt désobligeants ". " . on y trouve des notices curieuses sur toutes les îles que le spirituel voyageur a visitées, et notamment sur la martinique et la guadeloupe. les diverses productions de la nature y sont décrites avec précision et clarté. sa relation est assaisonnée d'une foule de petites anecdotes. " " .
La galère ne paraît sur la surface de la mer que comme un amas d'écume transparente, remplie de vent comme une vessie peinte de plusieurs couleurs, oú le bleu, le rouge et le violet dominent. c'est pourtant un poisson plein de vie, . " jean-baptiste labat.
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C'est une invitation à la découverte du monde de la mer en compagnie d'un jeune radio qui, au cours des embarquements successifs et d'une expédition dans le Grand Sud, acquiert un peu plus de maturité. A travers des anecdotes, le lecteur est invité à embarquer, à découvrir les rivages ensoleillés des tropiques, les brumes de la mer du Nord, les terrifiantes tempêtes de l'Atlantique, mais aussi certaines escales agitées, la traversée inoubliable des quarantièmes rugissants, des cinquantièmes hurlants et du cercle polaire antarctique.
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Un rêve d'enfant, un projet qui mûrit durant trente années, une passion dévorante pour le monde sous-marin et la mer, voilà Eric Blanc et son équipage : Sylvie, Sophie-Marine et Calypso qui larguent les amarres pour une parenthèse de quatorze mois. Cap vers Suez, la mer Rouge, l'océan Indien et l'archipel des Chagos.
Eric Blanc raconte, dans ce livre, une navigation familiale sur un voilier (OVNI) de douze mètres, les plongées, les rencontres sous-marines et insolites notamment avec les requins.