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Éditeurs
Prix
Phebus
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L'expédition du Kon-Tiki : sur un radeau à travers le Pacifique
Thor Heyerdahl
- Phebus
- 12 Octobre 1994
- 9782859403447
-
L'Orient-Express raconté par les écrivains
Blanche El gammal
- Phebus
- Litterature Francaise
- 1 Avril 2021
- 9782752912251
Chacun sait que l'Orient-Express, le train mythique qui relie Paris à Istanbul, a inspiré la fiction dès sa mise en service en 1883. Mais le public n'en a guère retenu que les noms d'Agatha Christie, de Graham Greene ou de Paul Morand. Pourtant, cette littérature est aussi abondante que méconnue. Dès 1914, elle aborde par exemple de grandes thématiques telles que le luxe et la luxure, le brigandage, le complot et l'imaginaire d'une plus grande Europe. La Belle Époque explore plus particulièrement les paradoxes de cet imaginaire, de la séduisante madone des sleepings au train de l'angoisse.
Avant que le second vingtième siècle ne balance entre la critique, la parodie et la nostalgie d'un monde perdu.
De Jean Giraudoux à Graham Greene, d'Apollinaire à Agatha Christie en passant par Lawrence Durrel, Edmond About ou Albert Londres, Blanche El Gammal nous offre une anthologie de textes célèbres et oubliés et nous fait voyager de manière singulière dans l'Europe du siècle dernier, entre exotisme, propagande, fantasmes et désillusions.
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Comment peut-on être persan ? Le mieux est encore d'aller voir. C'est ce que fait Jean Chardin, à
la fin du XVIIe siècle, pour y faire le commerce de diamants. Shah Abbas II le nomme son
marchand de pierres précieuses. C'est en tant que représentant de la Compagnie anglaise des
Indes orientales qu'il publie en 1686 la première partie de ses Voyages. Il ne complète cet ouvrage
qu'en 1711 et reçoit les éloges de Montesquieu, Rousseau, Voltaire et Gibbon. En 1811, Louis-
Mathieu Langlès en publie une édition plus complète en dix volumes. Empreints d'un sens aigu de
l'observation et considérés par les spécialistes comme une source historique de première main sur
la culture et la civilisation persanes de l'époque, les Voyages de Chardin gardent encore aujourd'hui
un intérêt considérable.
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en 1876.
le ministre de l'instruction publique charge émile guimet d'une mission en extrême-orient qui l'entraînera de l'inde au japon, en passant par shanghai, en compagnie de son ami le peintre félix regamey. huit jours aux indes, publié dans la célèbre revue de géographie le tour du monde, est caractéristique de l'esprit encyclopédique du futur créateur du musée guimet.
tissé d'exposés archéologiques, de réflexions d'historien, d'esthète et de philosophe, ce classique du voyage orientaliste et humaniste est emblématique du regard porté sur l'inde par le visiteur occidental du xixe siècle.
a l'heure où l'on " redécouvre " l'inde, ce récit permet de mesurer le chemin parcouru de part et d'autre.
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Carnets d une longue marche - nouveau voyage d istanbul a xi an
Ollivier/Dermau
- Phebus
- 21 Octobre 2005
- 9782752901170
Bernard Ollivier, l'auteur fêté des trois volumes de Longue marche (Traverser l'Anatolie, Vers Samarcande, Le Vent des steppes), après avoir arpenté pendant trois ans la légendaire Route de la Soie d'Istanbul à Xi'an en Chine - soit près de douze mille kilomètres de marche solitaire au coeur de l'Asie -, a eu la nostalgie des paysages et des passants du Grand Chemin. Surtout il voulait en fixer, pour lui et quelques-uns de ses lecteurs, les images fuyantes avant que l'oubli et les progrès de la mondialisation, qui tuent à la fois les lieux des hommes et leur mémoire, ne fassent leur oeuvre. Piètre photographe, il a décidé de refaire le chemin - à bord de divers véhicules, cette fois - en compagnie d'un illustrateur adepte comme lui de la marche: François Dermaut, reconnu aujourd'hui comme l'un des meilleurs aquarellistes de son époque. Et nous suivons nos deux compères le long de la même piste, au plaisir de rencontres plus ou moins attendues (encore que ce voyage-là non plus n'ait pas été sans surprises), retrouvant avec eux, mais avec un tout autre regard, les âpres montagnes d'Anatolie, les ruelles du vieux Tabriz, les coupoles de Samarcande, les cavaliers - et les cavalières - du Ferghana, les crêtes du Pamir, les bazars déjà chinois de Kashgar... mais évitant cette fois les terribles vents du Gobi qui rendent fou...
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Bernard Ollivier pensait en avoir fini avec la route de la Soie. 12 000 kilomètres à pied, pour rejoindre la Chine depuis la Turquie, cela suffit pour un retraité !
C'était sans compter sur Bénédicte Flatet, sa compagne, et son refus obstiné de s'arrêter. À soixantequinze ans, le voici de nouveau sur les routes pour parcourir les 3 000 kilomètres qui lui manquaient entre Lyon et Istanbul, et boucler la boucle. Un trajet à travers l'Italie du Nord et l'histoire tragique des Balkans qu'il accomplira, pour une fois, en couple.