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"Ce texte est le produit de dix ans de travail.
Ou faudrait-il dire de dix années de vies (au pluriel oui).
Vous trouverez dans ce récit épique les tribulations d'un jeune homme diagnostiqué « surdoué » à ses 7 ans. Il est très intelligent c'est vrai. Mais sa vie qui n'aurait dû être qu'une succession époustouflante de réussites au vu de ses capacités hors-normes, n'a été dans les faits qu'un long voyage sinueux, fait de périples et d'épreuves, de quête de soi et de reconnaissance. Le monde dans lequel nous vivons n'est pas prévu pour les personnes en dehors de la norme, et ce qui aurait pu être vu comme un don, a longtemps été pour le personnage principal et auteur de ce livre, une véritable malédiction.
Paradis artificiels et leurs turpitudes, monde de la nuit, misères et délits, passions déçues ; rien ne lui sera épargné. Ni même la fortune, l'abondance et une forme de reconnaissance au sein de milieux aisés, bien loin de ce qu'il lui était permis d'espérer, étant issu d'un milieu modeste.
Depuis Mulhouse en passant par Strasbourg, Paris, Los-Angeles, Brighton, Londres et La Guadeloupe, il vous sera fait états de ces épopées tantôt comiques, tantôts tragiques, mais assurément sentimentales. Être un zèbre (nom donné aux adultes à haut potentiel), c'est avant tout être une personne hypersensible."
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C'est un livre confession, sans concession : le témoignage d'une rescapée, non pas d'une secte, mais d'un catéchisme ordinaire, celui que dispensait l'Eglise dans les années 60.
Sophie Cécil nous livre son témoignage bouleversant, qui nous plonge dans un monde étourdissant et dépersonnalisant. Celui d'une infirmière passionnée qui, la foi chevillée au corps, se dévoue sans compter dans un altruisme qui donne sens à sa vie. Mais peu à peu, elle s'épuise sous la pression constante de ce conditionnement catholique incitant sans cesse à servir en renonçant à soi-même.
Son catholicisme lui a mené la vie dure avec de lourds préjudices dans sa vie de femme. La soignante est devenue malade alcoolique et c'est l'infirmière ici qui en explique en toute honnêteté le processus avec la plus grande justesse.
Tout aussi captivant sera le fabuleux crescendo sur son chemin de libérations multiples. La psychologie va croiser le spirituel et son être en sera affranchi. La femme naîtra enfin à elle-même et fera la rencontre de l'amour tant attendu...et inattendu : celui d'une femme.
Ce témoignage émouvant de sincérité et de quête permanente, nous fait entrer au plus profond de nous-mêmes. Quel que soit son parcours, toute personne peut trouver les moyens de quitter ce qui l'enferme ou la réduit.
Puisse cette histoire faire écho à tous ceux et toutes celles qui marcheront avec Sophie Cécil le long de ces quelques pages. -
"Témoignage inspirant, Agir pour exister nous propose une belle leçon de vie. Par le prisme de ses observations et de ses actions humanitaires, Badis Diab nous livre une analyse particulièrement inspirante.
Plus qu'une simple autobiographie, l'auteur nous invite à réfléchir sur des thèmes essentiels tels que : Notre rapport à l'autre, l'urgence d'agir ou encore la tolérance. Cet ouvrage démontre avec intelligence que nous avons tous quelques chose à offrir et qu'il ne tient, finalement, qu'à nous de contribuer à un monde meilleur.
Au fil des pages, nous sommes pris par la vitalité du discours d'un homme qui a parcouru le monde pour venir en aide aux plus démunis.
Agir pour exister est une oeuvre humaine et universelle destinée au plus grand nombre d'entre nous."
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Qu'elle est éprouvante cette année de stage après la réussite du concours du CAPES !
Voici un témoignage humoristique et vivant d'une professeure stagiaire fraîchement mutée dans un lycée de la Marne quittant pour une année sa vie en région parisienne.
Passionnée de littérature, des images d'Épinal plein la tête, l'auteure fait son entrée dans l'enseignement et découvre entre stupeurs et tremblements les réalités du terrain.
De l'affectation aux journées de formation, à l'enseignement des cours de français aux élèves, à la correction des copies, à la salle des profs, jusqu'au retour dans son académie d'origine, vous découvrirez son quotidien et ses tous premiers pas dans le métier d'enseignante.
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Mon livre, « les clés du bonheur humain » porte, bien entendu, sur le bien-être de l'Homme. Dans ma vie, je n'ai jamais vécu le bonheur sentimental et professionnel. Je n'ai vécu que le mal-être, et ma connaissance de celui-ci me renvoie, par opposition, à celle du bonheur. Dans ce livre, je pars de mon cas particulier que j'associe au cadre social et humain dans lequel j'évolue. Je suis habitué à la souffrance que je vis depuis toujours. Elle a été un moteur pour écrire cet ouvrage. Celui-ci parle de problématiques dont l'analyse m'a appris beaucoup sur moi-même et sur la nature humaine. Si je n'ai pas vécu les épreuves dont il est question, je n'aurai jamais pu écrire ce texte. A quelque chose malheur est bon. Je transforme le négatif en positif. Je métamorphose mes douleurs en créativité grâce à la conjugaison art-thérapie-spiritualité. C'est ce que j'appelle la « Théorie » qui m'a fait passer de l'état de victime à celui d'un être résilient. J. Turpin
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Cher journal, je t'écris aujourd'hui pour partager mon quotidien d'enseignante. Ce quotidien qui, loin d'être un long fleuve tranquille, se passe auprès d'enfants, si différents les uns des autres. Des êtres dotés d'un caractère, d'un tempérament, d'une vision qui leur sont propres et qui impactent notre vie au fil des ans.
Si je décide de t'écrire aujourd'hui c'est pour t'emmener avec moi, dans mon école, dans ma classe, te présenter mes collègues et te révéler ce qu'il s'y passe réellement lorsque les élèves sont là, mais aussi et surtout quand les portes de l'école se ferment. Je souhaite t'immiscer dans mon univers de maîtresse d'école qui peut, tout à la fois, être inquiétant et attendrissant.
C'est une confidence à coeur ouvert, un récit empreint d'honnêteté, d'un peu d'humour et sans détour. M. Vicky -
"La nuit du Chaos est un récit aussi bouleversant qu'émouvant. C'est un texte poignant, rempli d'humanité et d'espoir, une histoire qui vous entraîne dans les tourments de l'âme humaine.
Vous découvrirez, à travers les divers chapitres de cette narration, l'évolution du personnage central, ses relations avec son entourage, ses états d'âme, ses hauts, ses bas et, surtout, l'évolution d'une maladie peu commune et son impact sur ceux qui en sont confrontés." -
Une année nouvelle s'ouvre devant nous. À chacun ses voeux, «Santé, bonheur, joie, réussite sociale, financière, famille, bénédictions, enfin bref, il y en a pour tout le monde». Chacun désire le meilleur, pour tous.
« Vingt vingt » (2020), tout le monde était heureux de changer d'année.
Et puis l'alerte !!! Effervescence nationale et mondiale, une nouvelle épidémie fait son apparition. Le coronavirus communément appelé «la Covid-19» circule et fait de nombreuses victimes.
Toni Nigro fait partie de ceux qui sont touchés par ce virus mortel. Il s'ensuit, dès lors, une lutte pour la vie dont il décrit les différentes étapes dans cet ouvrage.
Il figure dans ce récit une version forte des évènements vécus par sa femme et sa fille, dans la souffrance, la douleur mais avec une foi à déplacer les montagnes. Le combat d'une femme pour son mari, et celui d'une fille pour son père. -
Venue en Alsace comme jeune fille au pair, devenue formatrice en langue portugaise et également traductrice-interprète assermentée, c'est avec beaucoup d'humour et un regard bienveillant que Marta nous fait le récit de son histoire d'enfant illégitime. C'est le témoignage d'une histoire peu ordinaire dans laquelle elle se livre sans retenue et exprime l'amour qu'elle a pour sa famille, ses proches et ses deux pays de coeur... le Brésil et la France.
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C'est le récit d'une vie d'homme, assez classique en apparence. Un garçon curieux de la vie, avide de connaissances, très jeune responsable d'une famille et conscient de ce qu'il considère comme les devoirs d'un père. Mais, derrière ce récit perce une histoire familiale chamboulée par une rencontre dont les conséquences parfaitement programmées mais soigneusement tues ont, au long des années, rongé la relation d'un couple et nécessité une vigilance particulière pour protéger trois enfants.
On comprend que, en suscitant des émotions naturelles dès les premiers échanges, la séduction d'arguments soigneusement choisis peut court-circuiter la raison et conduire à modifier la vision du monde jusqu'à « croire à l'incroyable ».
Si la vie de l'auteur n'a pas été un enfer, cette épreuve l'a cependant transformé en ce qu'il nomme pudiquement un « accidenté de la vie »... -
Diagnostiquée à l'âge de 23 ans, Rosine Coulibaly est une jeune femme qui vit avec la schizophrénie. Comment conjuguer ses convictions religieuses avec cette maladie ? C'est avec une grande simplicité que l'autrice se dévoile dans un ouvrage surprenant et riche en émotions. Le lecteur se retrouve ainsi immergé dans son quotidien et est invité à partager ses expériences.
Elle aborde également certains évènements dramatiques qui ont fait basculer sa vie. Victime des agissements pervers d'un membre de sa communauté religieuse, l'autrice a vécu une enfance marquée par ce traumatisme.
Ce livre met en avant la relation avec Dieu qui l'a aidée à s'affranchir de certaines peurs. Elle a alors pu faire face aux questions et aux conséquences relatives à son passé et à la maladie.
A travers l'écriture, elle met des mots sur ses tourments et ses angoisses tout en plaçant Dieu comme la pierre angulaire sur laquelle elle bâtit chaque jour son existence.
Dans cet ouvrage, vous pourrez apprécier des récits et des poèmes ancrés sur une foi qui rappelle qu'au-delà de la souffrance, il y a de l'espérance. -
"Écrire pour lutter contre le temps et l'oubli.
La feuille blanche remplace quelquefois le divan du psychanalyste pour un écrivain. L'écriture d'un livre relève souvent d'une alchimie entre ce qu'on a vécu et ce que l'on souhaite raconter. Tout individu, aussi ordinaire soit-il a une histoire à partager.
De 1949, année de ma naissance, à nos jours, le monde a connu tant de bouleversements et de changements qu'il m'a paru important de dire que je les avais vécus."
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Dans un élan de clairvoyance et de courage, je répondis sèchement : « Arrière Satan, au Nom de Jésus ! » Le diable recula, montrant son véritable visage, sombre, méchant et bestial. Il me répondit : « Alors, je te ferai souffrir. » (...) Cette nuit-là j'allumais toutes les lumières, comme un enfant effrayé par le noir et le monstre du placard.
Je me refusais à contacter cette mystérieuse femme dont j'avais pourtant l'adresse et les coordonnées précises. Il était hors de question que ces morts me considèrent comme leur messager.
Épuisé, les yeux rougis par les pleurs et la voix cassée par les cris d'incompréhension, je finis par m'endormir, un bandeau serré sur les yeux et les poings fermés comme prêts à la bataille.
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Nino est le témoignage poignant d'une maman sur le parcours improbable et semé d'embuches de son enfant. Très rapidement, deux histoires vont se confronter. Celle d'abord d'une maman qui se bat pour le bien-être de son fils et qui se heurte à de nombreuses portes, bravant les injustices et les jugements de valeurs, mais avec une détermination de chaque instant et une abnégation sans faille. Celle aussi de Nino, qui va lutter contre deux maladies orphelines, avec autant de courage que de révolte contre un système, certes pas toujours adapté, mais qu'il rejettera sous toutes ses formes. Ces deux histoires de vie se confrontent, s'entremêlent, se croisent, et finissent par se rejoindre. Cela donne lieu à un récit captivant, haletant et qui au final met en exergue de la plus belle manière l'amour incommensurable d'une maman pour son fils. Ce témoignage traverse différents sujets tels que le handicap, l'adolescence difficile, la maladie psychique, l'addiction et la délinquance. Le rythme soutenu qui s'installe au fur et à mesure du texte s'intensifie constamment jusqu'à son innommable dénouement. Emmanuelle Dufauret, 45 ans, est née et réside à Manosque, dans le département des Alpes de Haute-Provence. Assistante sociale de formation, puis chef de service d'un foyer d'hébergement, elle travaille depuis une vingtaine d'année dans le champ du handicap. Maman de Nino, elle a rédigé ce livre à partir du journal intime qu'elle a tenu tout au long de la vie de son fils.
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Charles, Alsacien de naissance, est issu d'une union entre l'Alsace et le Lot et Garonne. Sa jeunesse va être bousculée entre trois visions plus ou moins réalistes du mot patrie. La première celle de son père, ce Tonneinquais, ancien combattant attaché à sa France, un héros de la Résistance. La seconde celle de sa mère strasbourgeoise garante d'une Alsace traditionnelle. La troisième celle sa tante mariée à un Allemand de Cologne et membre du parti nazi. Son regard d'enfant découvrit cette France profonde, celle des champs de tabac, de la valeur de la terre, mais aussi les fractures au sein de la famille. De cette période où la haine de l'autre se bâtissait, il en fut le témoin, mais également l'acteur. De la photo loisir, il fit son métier. Après plus d'un an comme réfugié, de 1939 à 1940, il retrouva l'Alsace sous la croix gammée. Son père conserva son emploi grâce à son beau-frère. En 1941, Charles devient membre du bataillon de réserve de police de Cologne. Durant toute la guerre il sera photographe auprès des armées. Il intégra l'Einstzatgrouppen B, se transformant en exécuteur mêlant l'image aux tueries. En découvrant l'horreur des ghettos, la haine du juif, il se fit reporter tout en conservant son statut de soldat. En 1943, le voilà Waffen SS, blessé il servit différentes institutions liées à la politique raciale. En 1944 il connut l'enfer des camps et les exécutions suite à l'attentat du 20 juillet de cette même année. Les bombardements furent son quotidien. En 1945, avec la victoire des Alliés sur l'Allemagne nazie, il fit le choix de la fuite. La croix aidant le diable dans sa déroute, il rejoignit l'Espagne. Il ne cherchait pas le pardon encore moins l'oubli, mais simplement la délivrance.
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" Mémoires d'un jeune appelé du contingent en Algérie 1960/1962.
De son stage de Moniteur de jeunesse à Issoire à son départ pour l'Algérie puis son arrivée à Bouderbala dans les gorges de Palestro, nous suivons pas à pas la vie d'appelé de Jack BREUILLER, de 1960 à 1962.
Il devra tout construire pour l'éducation des jeunes arabes et participer en plus au commando de chasse chargé de combattre de nuit les fellaghas.
Il échappera plusieurs fois à la mort, et perdra beaucoup de ses camarades qui ne rentreront jamais au Pays. Il connaîtra la peur et aura beaucoup de questionnements et d'états d'âmes.
S'il a décidé, 45 ans après, d'écrire sur cette période, c'est pour répondre à un article paru dans un journal local émanant d'une personne qui parlait de la guerre d'Algérie sans l'avoir connue.
Révolté par les affirmations mensongères de l'article, il a pris la plume et a écrit son histoire qui, si elle n'avait pas été vécue, serait digne d'un roman de haut niveau."
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Une histoire de prostate avec un message pour sauver des vies.
La prostate n'est pas faite pour vieillir, elle sert uniquement à la reproduction. Située sous la vessie, entourant le début de l'urètre, c'est une glande d'environ 20gr qui participe à la formation et à la maturation de spermatozoïdes. En grossissant pour des raisons diverses comme des facteurs génétiques, environnementaux (alimentation, pollution, perturbateurs endocriniens), absence d'activité physique, surpoids pondérale, endocrinien, elle comprime la vessie et les ennuis commencent....
Celle de Vincent venait d'être diagnostiquée à 80g ! Il décrit, dans un texte écrit à quatre mains, souvent avec humour, les changements vécus dans une situation inédite. -
Que peut-on bien emporter dans un sac en bandoulière quand on se lance à la recherche des trésors de la langue ? Des mots, évidemment, pour vous tenir compagnie pendant votre voyage au pays où l'imaginaire poétique habite les choses. Des mots qui vous font traverser des siècles et vous renvoient, pour certains, à des cultures oubliées dont ils sont issus. Parfois, au cours d'une promenade au parc de Bagatelle, vous croirez peut-être croiser l'ombre de Marie-Antoinette, ailleurs un balayeur de rue. Puis, sous un mimosa ou un abricotier, un sanglier, des mouches, une mouette, avant de vous laisser tenter par les délices d'une pâtisserie. Au regretté Alain Rey, cet amoureux de la langue, dont le "Dictionnaire culturel en langue française", sera toujours une référence, un grand merci.
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"Vivre, vivre heureux ! Tel est le but et le combat de Maxime depuis l'âge de ses deux ans.
Ce témoignage poignant d'une maman commence par l'annonce impensable d'un cancer chez son bébé. Elle raconte la force de vie de Maxime, ses bonheurs, son courage, face aux multiples interventions chirurgicales, traitements par chimiothérapie, radiothérapie, immunothérapie, essais clinique, recherche de médecine alternative quand il n'existe plus de traitement. Mais également la lassitude de Maxime, sa fatigue au collège puis au lycée et le découragement qui l'envahit.
Sa philosophie de vivre le moment présent, son courage et sa force à vaincre la maladie sont présents tout au long de sa vie et ont fait l'admiration de tous, des médecins, des enseignants et de l'infirmière de son lycée devenue sa confidente.
Un exemple de résilience et de positivité qui ne le quittera jamais.
L'amour de sa famille lui a permis de traverser les épreuves les plus difficiles. Maxime voulait juste vivre.
Il nous laisse à tous une belle leçon de vie qui nous porte chaque jour, son étoile brille avec intensité dans le ciel. " -
Les tribulations d'un dinosaure de la grande distribution
Bernard Veyrent
- SPINELLE
- 24 Mars 2023
- 9782378277420
En 1979, Bernard Veyrent, fraîchement sorti d'école de commerce, toque à la porte d'une enseigne de la Grande Distribution et décroche son premier contrat de travail. Très vite, il va découvrir, parfois à ses dépends, un monde sans scrupule, sans foi ni loi, un univers où les arrangements et les combines font partie du quotidien. Un univers où se croisent les arrivistes, les donneurs de leçon, les méchants, les bons, les égoïstes mais aussi les gentils compétents, généreux, plein d'humour. Cette alchimie crée un lieu de convivialité , de joie où il fait bon vivre. Une planète où le client rayonne et dont la marge est le satellite. Ce livre est le reflet d'un lieu en complète mutation, et retrace fidèlement une période révolue, une période phare, faste de cet univers mystérieux, très fermé et trop secret. Il est le reflet de la vie au quotidien dans un hypermarché.
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Pour que plus jamais un enfant de la DDASS ne vive ce que j'ai vécu !
« Violence institutionnelle », le mot est-il trop fort ? Qu'auriez-vous fait à ma place ? Je vous laisse juges et parties à la lecture de mon témoignage. Il se veut le récit d'un combat acharné pour ma survie physique comme psychique. Le récit d'une première partie de vie régie par les services sociaux. Et aujourd'hui, je vous le livre comme une preuve que l'on peut malgré tout s'en sortir ! Comme une main tendue à celles et ceux qui, aujourd'hui, vivent ce que j'ai vécu, et également, comme un éclairage pour les Conseils généraux de protection de l'enfance ! Le voyage fut tumultueux, mais la destination est tellement belle... Mes conseils, à la suite de tout ça ? Restez accrochés. Suivez votre instinct. Ne vous abandonnez jamais vous-même. -
"Dans le langage des fleurs, le glaïeul est le symbole de la loyauté, de l'honnêteté, de la sincérité. Il incarne la force de caractère et signifie ne jamais abandonner.
J'ai vécu un viol il y a 10 ans.
Ce livre te raconte ce crime, cette destruction d'une partie de moi et ma renaissance.
Ce livre est pour toi qui vis ou as vécu la même chose, pour te dire de ne pas avoir honte ou peur, que le silence n'aide en rien. Moi, je te crois !
Ce livre est aussi pour toi qui as simplement envie de découvrir mon histoire.
Ce livre est mon cri dans ce monde fou, dans cette société machiste qui remet toujours la parole des femmes en question, dans cette foule d'aveugles et sourds, parce qu'il est toujours plus simple de faire comme si on n'avait rien vu, comme si on n'avait rien entendu.
Ce livre te montre comment sur une terre morte, les glaïeuls doivent pousser." Carmen -
« Mémoires d'une fragile comète » est le journal intime que Marie Pra a tenu de 2004 à 2006. Dans ses carnets, elle dit tout, elle se livre sur son travail d'écrivain, alors inédit, ses amis, ses relations amoureuses et sexuelles, pan nouveau de son existence. C'est aussi le journal de bord d'une profession, avec la découverte du métier d'enseignante. Dans une langue imagée et vive, la diariste nous invite à connaître ses découragements et ses révoltes, son regard sur la société. Le livre se termine avec un voyage en Israël, pays auquel elle est profondément attachée.
Ce Journal fait suite, après quelques années de silence, à un journal d'adolescente déjà publié. Le lecteur est invité à saisir la vie dans ce qu'elle a de plus palpitant et de plus attachant. Le journal intime est tenu pour une littérature à part entière. -
L'inconnue, c'est l'histoire d'une jeune femme de 27 ans qui assiste, un après-midi en rentrant du travail, à un évènement qui va la bouleverser. Le fait est qu'elle n'aurait même pas dû se trouver là à cet instant. Ne parvenant pas à se remettre de ce choc émotionnel, se battre reste la seule alternative pour ne pas sombrer dans la dépression. La récurrence des souvenirs traumatiques déclenche en elle des réactions autant physiques que morales. Sa santé vacille.
« L'inconnue » c'est mon histoire. Je m'appelle Alizée et en juin 2020 il m'a été annoncé que j'étais atteinte de cette maladie au nom bizarre qu'est la sclérose en plaques. J'ai voulu retracer dans ce roman-témoignage le tsunami que j'ai traversé au moment où ma vie a basculé, mais aussi les maladresses du corps médical et de mon entourage.
Ce récit est le moyen, pour moi, d'offrir un regard sur cette maladie que l'on pense souvent connaître, à tort, sur le poids des mots des Autres, sur la digestion de l'annonce d'une maladie incurable, sur le monde médical et sur la façon dont on peut se relever de cette expérience pour en faire une force. A. Lacroix