"Histoires courtes, poétiques, entre imaginaire et réalité, au bord de la folie...
Le vent du nord, les frites, les crèmes glacées de Belgique. Une balade à la rencontre de lieux, de personnages banals, insolites. Sur une plage, dans une cité, sur un pont métallique sans horizon, dans l'atelier d'un peintre... Une caresse, une chanson, un saut sans élastique, une illusion ?
Humour, dérision, profondeur et légèreté rose-noire-dorée."

Fermez les yeux, renaissez un instant mais restez petit, vous verrez grand... Alors... avec vos yeux d'enfants, contemplez la danse de la marée sur le sable mouillé, les branches enlacées des arbres amoureux... doutez avec les nuages et appréciez les caresses de la musique du vent...
Ces poèmes sont une invitation à s'envoler, à rêver, à danser, à se relever, à recommencer... à valser sans jamais pouvoir s'arrêter.
Tour à tour cavaliers de nos histoires d'amour et d'amitiés, entre puissance et légèreté, valsons avec nos désirs, nos peurs, nos doutes ! Et de ce tourbillon langoureux, appelés par les profondeurs du vide, savourons de délicieux vertiges. Dans nos veines, la musique vibre, nous étourdit, nous emporte pour vivre la sage ivresse de nos amours et peu importe que la danse soit ratée, avortée, tourmentée, pleurée, passionnée ou rêvée, remerciez la valse parfaitement imparfaite de vos histoires car hier, aujourd'hui et demain, nous valsions, nous valsons et nous valserons... C. Canis Lire la suite Fermer

'Quand la nuit se fait chant' est un recueil de poèmes en vers rédigé sur une longue période et où chaque chapitre a une résonance particulière. Du grincement de la douleur à la danse de l'amour, du soupir du temps à l'harmonie de la nature. Les textes célèbrent aussi la symphonie de la vie et se prêtent au jeu de différents personnages. Chaque poème a sa propre musicalité et est porteur d'un message qui éveille diverses émotions. Le titre lui-même évoque ces instants de pure inspiration, survenant dans le silence enveloppant de la nuit, où l'écrivain, en harmonie avec une fréquence intérieure, laisse couler les mots de manière presque instinctive. Ce processus créatif mystérieux se révèle à l'auteur au réveil, redécouvrant avec étonnement les échos de son âme inscrits dans le carnet déposé à cet effet sur sa table de nuit. Lire la suite Fermer

Ce recueil de poèmes, intimiste et vibrant, traite de thématiques fortes et fédératrices telles que l'amour, la beauté, la sensibilité, la nature, la légende, l'histoire et la guerre ou le rapport au temps qui passe. Il est à la fois une exploration lyrique et une célébration de la condition humaine.
Chaque poème est une fenêtre ouverte sur l'âme, invitant le lecteur à un voyage introspectif à travers des paysages émotionnels variés. Des vers délicats et puissants se succèdent, évoquant avec finesse les nuances de la vie, des moments d'exaltation joyeuse aux abysses de la mélancolie. La langue est à la fois riche et accessible, créant des images vivantes qui résonnent longtemps après la lecture. Ce recueil est une ode à la beauté du monde et à la complexité des sentiments humains, un témoignage poignant de la capacité de la poésie à toucher le coeur et à éveiller l'esprit. Lire la suite Fermer

Vous connaissez le slogan : Faites l'amour pas la guerre.
Des haïkus érotiques voyagent à travers cet ouvrage où les mots passent et se rejoignent pour apporter un érotisme calme. « La femme devient magnifique et magique, dévoilant sa nudité ».
L'auteur a souhaité montrer le corps de la femme sans aucune vulgarité ni atteinte à la pornographie.
La grâce et la lumière deviennent des champs de blé.
Le visage et la longitude jonchent les images de l'amour.
« Si le vagin humide était une fontaine , l'eau serait pure » .

Comme l'a dit Louis Aragon « il n'y a de poésie que du concret », pour essayer de rendre la poésie moins littéraire, faire oublier les cauchemars des récitations apprises par coeur, Ellande Bakean a décidé d'enlever tous les titres et de numéroter chaque poème de son recueil de poèmes. Ainsi la lectrice et le lecteur pourront lire les poèmes comme une nouvelle. Bakean part en balade avec chacune, chacun.

Il ajoute les commentaires des membres femmes et hommes de sa communauté de poétesses et poètes de France-Poème, leurs commentaires le guident comme les lumières des cabanes de Vol de nuit dans la noirceur de la montagne.

Sans jamais oublier les mots de monsieur Edmond de Goncourt, « la versification est à la poésie ce que la discipline est au courage », Bakean est ce poète qui cherche cet horizon plus rare que le rayon vert, car dans cette quête, on a toujours la chance et le bonheur de faire mille rencontres dans le mélange des vers, des cultures tolérantes. Lire la suite Fermer

Ce recueil poétique appréhende la condition humaine dont l'irrémédiable perversité emprisonne nos êtres, solitaires et poreux aux rencontres des mondes. Quand nos âmes débordantes alourdissent l'existence, l'Anthropoésie nous en rappelle les charmes.
Empreint d'une réalité crûment poétique, rêve et surréalisme se veulent aussi parties intégrantes de l'oeuvre, l'imaginaire étant la seule faculté offerte à l'Homme pour lui-même se dépasser.
Dans la veine du décadentisme baudelairien, l'ouvrage interroge la valeur contrainte du sens des vies individuelles. Questionnant l'existentialisme et son rejet des cadres théologiques ou philosophiques, l'Anthropoésie se propose également d'en comprendre le recours, parfois salvateur pour quelques destinées.

Nombreuses furent les soirées passées seul dans ma chambre, assis, le dos appuyé contre le mur lors de ces trois dernières années, à réfléchir sur le sens que je donnais à la vie, à faire le deuil de relations qui n'étaient pourtant jamais nées, ou encore à simplement lutter contre des pensées autodestructrices. Elles ont été le socle de l'écriture de ces poèmes, qui abordent chacun de ces sujets.
Ce recueil est une histoire de doutes, d'échecs, de larmes, mais aussi d'espoir. Elle commence en 2020 dans le froid solitaire d'une chambre étudiante, et se termine presque trois ans plus tard, sur un banc en bois, dans un froid hivernal beaucoup plus réconfortant.

Ce que j'ai tenté de faire, je crois, c'est d'aller au nerf, aux tripes, au vrombissement essentiel. J'ai essayé de retranscrire ma réalité avec le plus de justesse possible. Ces textes sont les jaillissements articulés d'une angoisse polymorphe qui sous-tendait tout principe de désir et d'aversion chez moi et qui, existant aussi intensément par sa présence que par son absence dans le champ de ma conscience, avait comme assiégé cette dernière, me condamnant à un présent équivoque, duquel j'ai essayé d'extraire le plus de beauté, comme pour m'en consoler.
Ainsi, la lourdeur de vivre - thème malgré tout central - s'entremêle à quelques notes d'humour, de désinvoltures et d'amour aussi bien charnel que mystique, le tout quelquefois ponctué par une once d'autodérision. Mais qu'on ne s'y trompe pas : la multiplicité du cri n'en estompe pas pour autant la nature déchirante. V.N Lire la suite Fermer

"Ce recueil est un cri dans l'insondable univers où les humains se sont égarés au fil du temps, où les mots ont perdu leur sens au bénéfice de marionnettistes affligeants.
Espérant réveiller les mémoires, raviver la foi en l'avenir des Hommes mutants, pour que ce Monde torturé resurgisse de l'enfer dans lequel les Hommes l'ont enlisé à coup de pseudo-évolution.
Avec ou sans nous, le Monde changera et s'envolera vers des cieux plus radieux, et avec beaucoup de passion."

Ce recueil de poèmes reflète le temps qui passe. Un temps ponctué d'arrêt ou l'esprit laisse cours au ressenti. C'est un dialogue entre l'auteur et son environnement, une balade entre passé et présent. Les thèmes sont divers mais posent tous un regard sur l'existence, sur l'être en tant qu'entité vivant et sur les soubresauts de la vie.

Graines de Corail est le titre retenu pour cette publication collective des Îliennes, qui font partie des Amis de la Poésie, club né au siècle dernier, un mois de janvier 1990, à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie.
Les rendez-vous mensuels avaient été fixés, depuis 30 ans au premier mercredi du mois, Baie de l'Orphelinat, au Piano Bar Paillard, une institution de la place consacrée à la musique et la chanson, désormais disparue du paysage au grand regret de ses aficionados. Elle réunissait les membres du Club qui vont et viennent au gré du flux et du reflux des vagues du Pacifique. Les rescapés ont été recueillis au Piano Blanc, chez Aline Mori, présidente de l'association depuis 2006, dans l'auberge espagnole de la poésie et de la musique pour partager un verre et l'amour inconditionnel des mots.
S'y croisent des voix anciennes ou plus récentes qui ont traversé les océans pour faire souche, germer et se multiplier sur ces îles coralliennes, en colonies discrètes, en récif sous-marin.
L'élément liquide, dans lequel nous baignons, enchante les coeurs et les âmes qui s'envolent au gré des alizés, en mots murmurés, soufflés, chauds et dorés, exaltés, célébrant l'ici et le maintenant, parfois l'ailleurs, nostalgies inspirées chevillées au corps sous le soleil exactement, dans l'immensité de l'Océan.
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Qu'est-ce que le désir, « jamais élucidé, jamais rassasié, jamais exaucé » (Sophie Noleau en introduction du Printemps des Poètes), qui exige d'être satisfait, sinon à frustrer celui qui l'éprouve ?
« L'amour est désir et le désir est manque » (Platon). « Ce qu'on n'a pas, ce qu'on n'est pas, ce dont on manque voilà les objets du désir et de l'amour. Et voilà pourquoi le bonheur si souvent est manque. Si la fin est frustration, l'appétit est la puissance de jouir... Si l'amour est aussi désir chez Spinoza, il n'est pas manque car il est puissance de jouir et jouissance en puissance » (André Comte-Sponville).
Un thème maintes fois traité, sans nul doute... Il a fait route jusqu'ici, venu de l'autre bout du monde jusque chez les Îliennes qui l'ont accueilli et lui ont fait fête lorsqu'il naviguait toutes voiles dehors sur la Mer de Corail, en direction de la Nouvelle-Calédonie. Lire la suite Fermer

Un peu de violence et beaucoup de tendresse. Des mots doux pour adoucir les coups.
Une pensée épanouie où s'élabore une douce harmonie à l'abri de la fureur d'un Monde qui affiche trop de brutalité.
Ces poèmes sont doux comme le velours, et tranchants comme le métal.
Sur la feuille immaculée l'auteure a posé des mots d'une douleur et d'une grâce folle afin d'anéantir ses craintes.

Pour le fantassin François Polata 1918-2018: cent ans déjà et nos soldats, nos soldats héroïques sont toujours dans nos mémoires; hommage donc à eux, à travers ce recueil de sonnets... Nos héros furent de nombreuses batailles, de Sarrebourg en 1914, de Verdun, de celle du non moins glorieux ''Chemin des Dames''. Ils sont là en ces pages, prisonniers de chaque veille, au fond des tranchées. Ils sont là à rêver d'un retour au pays. Peu y reviendront, soustraits au pain du sacrifice. Peu auront à s'en remettre aux bras d'une charrue, à de nouvelles fenaisons. Qu'ils fussent rompus aux saints travaux, à ployer sous la barda, à courir sous les balles, ils resteront à jamais nos enfants et nous ne les oublierons pas. G. Demange Lire la suite Fermer

"État d'âme est un recueil de poèmes autour des émotions que l'on peut éprouver tout au long de notre vie. Aussi bien positifs que négatifs mais dans une optique optimiste. Chaque poème trouve son origine dans des expériences de la vie quotidienne. Ils ont pour but de montrer que même dans des situations difficiles il y a toujours une solution et que vous n'êtes pas seul. Vous vous retrouverez sans doute dans certains de ces poèmes parfois simplistes, parfois profonds, souvent réalistes mais également un peu fantaisistes. Ces poèmes sont à la fois indépendants les uns des autres et interconnectés dans leur ensemble pour une parfaite compréhension de la vision de l'auteur sur ce thème.
Ce recueil est avant tout une compilation de tout ce qui fait une vie et cherche à partager au plus grand nombre une vision différente de l'interprétation de nos sentiments.
Les poèmes évoluent au fil de la lecture, leur style et le sens de leur écriture également, ce qui rend la lecture plus immersive. Cette évolution d'écriture est due à l'évolution de l'auteur au fil du temps et montre l'implication de celui-ci dans chacun des thèmes abordés comme l'amitié qui est très présente." Lire la suite Fermer

"Après 2 recueils de poésie urbaine publiés en 2017 et 2019, l'auteur nous offre pour ce 3ème volet 120 textes empreints de sincérité, de franc parler, de musicalité qui n'appartiennent qu'à lui.
Un maniement des mots maîtrisé, une technicité et un sens plus qu'affûté. Sa plume aiguisée confère à l'ensemble de l'oeuvre un ton inhabituel qui a déjà séduit nombre d'artistes et de lecteurs. Des tranches de vies, des thèmes variés, parfois doux, parfois durs qui sauront séduire la plupart des adeptes de l'écriture contemporaine.
Chacun se retrouve dans la majorité des écrits de cet ouvrage. Des textes à lire, relire, chanter, adapter et déguster sans modération."

"Quatre-vingt-dix poèmes écrits en temps de confinement : fragments, puzzles, cascades de mots qui parfois s'évadent dans les arbres, les plantes, en compagnie des oiseaux persifleurs...
Quand par-dessous le toit Descend se coucher le soleil De la fenêtre de la cuisine On peut voir ma bibliothèque Dans les arbres du jardin.
La culture à la nature appendue."

Habitué à de nombreux concours nationaux et internationaux, lauréat distingué lors de nombreuses manifestations littéraires, Helnee Thomelie, après avoir sublimé l'amour, la nature et l'humour dans sa trilogie de poèmes saluée par Yves Duteil et Renaud, deux grands poètes de la chanson française, et après nous avoir présenter une partie de sa vie passée dans le domaine funéraire grâce à son ouvrage « Apres », applaudi, lui aussi, par de grands noms du monde littéraire et de l'édition, nous offre aujourd'hui un grand choix de poèmes, de textes dont il a le secret.

Voilà qu'il faudrait s'unir, mais voilà qu'il y aurait quelque chose d'avance rompu dans l'union. Que veut-on l'un de l'autre ?
Nous sommes toujours deux est la tentative, sous une forme poétique, d'approcher l'impossibilité de l'union, ce que certains auteurs traduisent ainsi :
Freud : « Aussi étrange que cela paraisse, je crois que l'on devrait envisager la possibilité que quelque chose, dans la nature même de la pulsion sexuelle, ne soit pas favorable à la réalisation de la pleine satisfaction. » Lacan : « L'amour, c'est donner ce qu'on n'a pas à quelqu'un qui n'en veut pas. » Gainsbourg : « L'amour physique est sans issue. »

La poésie est un langage avant d'être une versification, difficile pour Bakean mais Il veut l'originalité jamais utopique, alors il sort de ses cadres de référence.
Essai poétique de Bakean qui se rêve François Villon, du Bellay, Rimbaud, Neruda, imparfait dans toutes les incomplétudes de son monde il écrit les vers, écoutant ce qui aiment la poésie, et essaie d'aller plus loin en lui. Il se moque des diktats et des morales artificielles d'une société de consommation qui a perdu l'humilité du temps à vivre et l'humanité de la terre.

Jean-Marc Percier aime manier les mots comme on jongle avec des balles, les faisant passer par-dessus la jambe leste de celui qui esquive des coups sur le ring du combat humain face à l'inconnu.
Après « Le vent chaud des souffles enlacés » (octobre 2020), « A rebrousse-plume » (juin 2021), et « Éclats de mots » (recueil de Haïkus, mars 2023), Jean-Marc Percier propose ici 82 nouveaux poèmes inspirés par son exploration incessante des émotions humaines face à la beauté du monde, ses complexités et ses contradictions. Le style libre de ses vers, voulu et revendiqué, singularise son écriture pour partager l'essentiel de ce qu'il pense devoir communiquer : un passeport permettant le rêve et l'espoir dont chacun a tant besoin.
Ce nouvel ouvrage montre sa fidélité à des thèmes qu'il chérit particulièrement : la recherche de la paix, le respect de la vie, l'importance de la poésie dans la vie de chaque jour. Lire la suite Fermer