50 tear-out posters, each designed by a unique artist or designer, that convey the urgency of needing to take action to help prevent climate change.
The Intergovernmental Panel on Climate, a body of scientists convened by the United Nations, recently reported that an even hotter climate is certain as a result of the burning coal, oil and gas, the planet has already heated by approximately 2 degrees Fahrenheit and the window of time to avoid additional impacts is closing. Heat waves, water shortages, and large-scale animal and plant die-offs are now inevitable. However, changing this course is still possible through collective action.
Historically, posters are one of the most common mediums of communication for dissent or social change. Posters for the Planet is a collection of 50 posters, each from a unique artist or designer (selected from an international call), that convey the urgency of needing to take action to prevent climate change. The posters are 11 x 14 in, printed on FSC paper, and intended to be used by activists, students, and anyone interested in enacting change.
Quatre posters d'artiste.
Cécile Bart fait le choix du carnet A5 et du mouvement. De page en page, s'entrecroisent et se superposent la couleur - celle de ses tissus peints - et ses images correspondant à la série de photographies de la sculpture Les Pélicans (1906) de Bugatti-Rembrandt, qu'elle a réalisée au Petit Palais (Paris) en 2018.
Gianni Pettena réinterprète Tumbleweeds Catcher, une performance menée avec des étudiants de l'université de l'Utah alors qu'il est professeur invité de 1971 à 1972. Pettena dresse une tour en bois dans le centre ville de Salt Lake City afin de capturer les tumbleweeds, broussailles déplacées par le vent dans le Grand Ouest américain. Son texte, en première de couverture, annonce le déroulé de son action performative, une ode à la nature qui prendrait sa revanche sur un espace maîtrisé par l'homme.
Dans la poursuite de son travail autour des architectures en béton, Isa Melsheimer investit un lieu situé à Märkische Viertel, ancien quartier de logements sociaux à Berlin (années 60-70). Au recto, une mise en scène est pensée pour une prise de vue photographique de son propre personnage - pour lequel elle a conçu vêtements et masque - devant la sculpture de l'artiste Erich Reischke, en voie de végétalisation. Le glissement vers le verso est une gouache de l'objet seul.
La reprise d'un même motif - zigzag, la maison, le visage - est constante dans l'oeuvre d'Ernst Caramelle, à différentes échelles, en relation avec une architecture, pour des oeuvres sur support papier. Le motif zigzag est visible dès les années 1970 à la Galerie Buades, Madrid et à Nächst St.Stephan, Vienne, il sera décliné, entre autres, au sein de la série « sun-pieces » jouant sur la dualité, le positif et le négatif, le découpage de papiers teintés dans la masse dont la matière a été impactée par les effets du soleil. Expansion zigzag pour 2 / 5 est une des variations de ce principe.
La collection 2/5 s'inscrit dans la lignée des publications d'artiste éditées par Captures. Quatre invité.e.s par an interviennent sur un même espace, le format ouvert A2 (420 x 594 mm) donnant lieu à une variation de propositions en fonction du pliage. Les quatre titres sont distribués ensemble dans une enveloppe à chaque fin d'année.