Les cités de la nuit écarlate

William S. Burroughs

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS)

Résumé

Les cités de la nuit écarlate est le premier volume de la dernière trilogie composée par William Burroughs. Il précède Parages des voies mortes et les Terres occidentales.

Gérard-Georges Lemaire : « Dans Cités de la nuit écarlate, vous mettez en scène des flibustiers qui parviennent à instaurer, du moins pendant un certain temps, une société utopique. Pouvez-vous me dire comment vous avez tiré parti de l'histoire pour construire cette fiction somme toute "politique" ? » William Burroughs : « Oui, c'est utopique d'un certain point de vue puisque des pirates s'emparent du continent américain et créent le monde qu'ils désiraient. Mais d'autres ne pourront pas les considérer comme ayant des fins purement utopiques...
Dans Havre des saints, j'ai déjà évoqué le commencement de cette histoire. Tous mes livres ne formant qu'un seul livre, les personnages, les situations, les époques, passent des uns aux autres... » (Colloque de Tanger)


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  • Auteur(s)

    William S. Burroughs

  • Éditeur

    Christian Bourgois

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    19/02/2009

  • Collection

    Titres

  • EAN

    9782267020182

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    462 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    10.8 cm

  • Épaisseur

    2.4 cm

  • Poids

    334 g

  • Lectorat

    Tout public

  • Diffuseur

    CDE - Centre de Diffusion de l'Edition

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

William S. Burroughs

Né à Saint-Louis en 1914, William Burroughs est mort en 1997 à 83 ans. A la fin de ses études, il émigre à New York, plonge sciemment dans le monde de la pègre et devient intentionnellement héroïnomane. Parallèlement, à l'université de Columbia, il fait la connaissance de Ginsberg et de Kerouac. Vers 1950, Burroughs se met à écrire. Il tue sa femme accidentellement et s'éclipse en Amérique du Sud. En 1954, il s'installe à Tanger qu'il ne quittera qu'en 1964. Ses intoxications se font de plus en plus aigües. Après sa désintoxication entreprise à Londres, il se met à écrire beaucoup : Le Festin nu, La Machine molle, Le Ticket qui explosa, Nova express, Les Derniers mots de Dutch Schultz, Le Job, Les Garçons sauvages. C'est en 1975 que Burroughs est reparti vivre à New York, où il est devenu une des « stars » de la « scène new-yorkaise ». Gourou de la Beat Generation, éminence grise controversée de l'avant-garde internationale, prophète sombre à l'humour des plus noirs, William Burroughs a eu une influence avec laquelle peu d'écrivains vivants ont rivalisé.

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