Maxime Schmitt nous entraîne dans des salles de cinéma à jamais disparues, celles de la Dernière Séance.
II sillonne un Paris à la Robert Doisneau, et c'est toute une mémoire collective qui défile en CinemaScope. " Cinéma perdu ? Pas pour tout le monde ! Moi, j'en rêve de ces pages qui ressuscitent les temples détruits du cinéma, vaisseaux fantômes dont les frontons abritent aujourd'hui des supermarchés ou des boutiques de fripes. Maxime Schmitt - après nous, les Truffaut, les Resnais, les Godard - a usé ses culottes courtes à courir sur les boulevards de Paris à la recherche des films de ciné, de ceux qu'on ne voit plus ou qu'on aperçoit rarement dans les complexes glacés, HLM du cinématographe et du pop-corn.
"