La gloire de mon père

À propos

Un petit Marseillais d'il y a un siècle : l'école primaire ; le cocon familial ; les premières vacances dans les collines, à La Treille ; la première chasse avec son père... Lorsqu'il commence à rédiger ses Souvenirs d'enfance, au milieu des années cinquante, Marcel Pagnol est en train de s'éloigner du cinéma, et le théâtre ne lui sourit plus. La Gloire de mon père. dès sa parution, en 1957, est salué comme marquant l'avènement d'un grand prosateur. Joseph, le père instituteur, Augustine la timide maman, l'oncle Jules, la tante Rose, le petit frère Paul, deviennent immédiatement aussi populaires que Marius. César ou Panisse. Et la scène de la chasse à la bartavelle se transforme immédiatement en dictée d'école primaire... Les souvenirs de Pagnol sont un peu ceux de tous les enfants du monde. Plus tard, paraît-il, Pagnol aurait voulu qu'ils deviennent un film. C'est Yves Robert qui, longtemps après la mort de l'écrivain. le réalisera. " Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers. "

Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    Marcel Pagnol

  • Éditeur

    Fallois

  • Distributeur

    Hachette

  • Date de parution

    25/08/2004

  • Collection

    Fortunio

  • EAN

    9782877065078

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    220 Pages

  • Longueur

    17.9 cm

  • Largeur

    11.2 cm

  • Épaisseur

    1.5 cm

  • Poids

    140 g

  • Support principal

    Poche

Marcel Pagnol

1895-1974
Marcel Pagnol débute au théâtre, à Aubagne, en collaborant avec Paul Nivoix et abandonne une carrière de professeur d'anglais. Il rejoint le naturalisme avec Topaze, une comédie de moeurs. La consécration populaire vient vite avec la triologie Marius, Fanny et César: les histoires marseillaises conviennent à l'humour gai des joueurs de belote et de pétanque.
Pagnol se consacre alors au cinéma et réalise ses meilleurs films, comme La femme du Boulanger. Il entre à l'Académie française en 1946 et publie ses souvenirs d'enfance et de jeunesse dans un style qui allie la poésie à l'humour.
Il est enterré dans le cimetière de Treille et l'on peut lire sur sa tombe cette épitaphe, empruntée à Virgile, qui résume sa vie et son oeuvre:
"Fontes, amicos, uxorem delexit": "Il a aimé les sources, ses amis, sa femme"

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